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  "Sur vojo de l'vivo nun vagas mi sola,
Senzorge al kie la tempo min blovas;
Ĉar, kvankam min celus eĉ vorto konsola,
En aĝ' mia nuna mi vivi ne povas" (Edmond Privat)Presidentielles 2012 sortie de l'euro 
Union populaire republicaine
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Texte Libre 1 en-tête

VIVE LE MRAP ! VIVE LES CATHOLIQUES !

le scandale du siècle Durant 50 ans on a cultivé l'horreur de l'URSS son totalitarisme, sa barbarie cauteleuse, ses flics puants, son intrusion dans la vie privée des gens, on nous a fait peur de ce contre-modèle c'était l'abomination le danger qu'on opposait à nos pays civilisés et libres Et dire qu'on était prêt à faire la guerre pour ne pas tomber dans une telle société maintenant on les imite! en pire ! u-p-r Asselineau le seul qui interdira les RFID LA Banque Centrale Européenne n'est « INDÉPENDANTE » que d'une seule chose : DU SUFFRAGE UNIVERSEL  Arnaques de la GRANDE DISTRIBUTION Turquie état policier barbare pour nos enfants nos familles la société Refus TOTAL directive scélérate Les américains ont PEUR de s'indigner c'est le but recherché Morts etat-d'Anne  LES MOTS argument de mouton fasciste DEFENSE des DATES seuls ceux qui ont connu ça comprennent horreur Mépris des gens atteintes à leur dignité et conditions de vie ce qui viendra après LES LABOS  Marksaj studoj

à BAS l'invasion amerloque ! à bas l'anglicisation obsessionnelle d'OVER-BLOG !!!

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Texte libre 2 en bas à droite

Un seul Etat ce n'est pas l'apocalypse ni la fin du monde

on n'avait plus entendu ce genre de propos depuis la fin de l'URSS et du KGB

avant la purification ethnique 
v"ce qu'il y a de terrible quand on cherche la vérité c'est qu'on la trouve"
v Kawther Salam
ECOUTER en LISANT:

un peu de métaphysique

un chagrin insondable

v Shajarian :

Kazi Nazrul Islam le grand poète bengali


Dum vivas mi :

*Le Temps des Fleurs (et le temps où Dalida vivait)

* Un jour tu verras 

Steve Reich:

 

BRUCH le plus puissant concerto 

Ils disent

 Natacha Atlas :


Savoir, résister, avant qu'il ne soit trop tard

des choses que vous n'avez pas vues à la télé

(que réfléchissent ceux qui se chauffent au fuel: Est-ce que vous retrouvez vos chaudières effondrées après une nuit de fonctionnement?)

v la fatwav les humanistes commencent à prendre peurv Espace Libre

par exemple

les "experts" en qui on met notre confiance sont achetés et mententv

SAVEZ-VOUS QUE MAINTENANT IL Y A UN DICTIONNAIRE chinois- français SUR INTERNET ?

v sud de l'Iran
v les couleurs de l'INDE

v mousselines: "vents tissés" disaient les romains

histoire de l'INDE - 1ère partie

nostalgie d'Alger

l'argentine  est un des plus beaux pays au monde
v à la frontière Sino-Mongolev monts Altaï en Sibérie:  Fabuleux !v la Pologne

on vous donne des idées caricaturales sur les gens,
les trouvez-vous vraiment "constipés" ces iraniens? :
sauf comme tout le monde quand ils sont sur la  tombe de leur mère

v devant une logique comme celle-là le refus doit être total ! v  

Un texte capital à lire "comme boivent les poules: en relevant fréquemment la tête pour faire couler" : Le racisme anti-pauvres

toutes les espèces végétales et animales aves liens images etc
 SEA SHEPHERD

La végétation d'Uruguay

TOUTE l'actualité scientifique

DANIEL faisait partie du "Mouvement du Graal"en mémoire de lui les voici

présentation

 

v ATTRACTEURS ETRANGES v fractales v Morphogénèse

v NOUVEAU ! Un portail sur le monde musulman

carnets de poésie

Comte-Sponville

MES PIEDS SE SONT SEPARES DE TES PIEDS

La nature vampirique du capitalisme actuel qui vit de suçer la vie des êtres et des peuples":
Le capitalisme est devenu le plus grand ennemi de  l'individu
vie cauchemardesque des américains de classe moyenne
v une vision autoritaire et monochrome de la société


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texte libre 3 = vrai accès aux archiv

26 mars 2020 4 26 /03 /mars /2020 08:21
50 ans (déjà ?!) après Gébé et les hippies, l'utopie révolutionnaire de la première chanson de Souchon va pouvoir se réaliser !

à bas les valeurs boursières au nom desquelles l'Union européenne nous a forcé de SABOTER notre équipement sanitaire d'urgence ! vive les valeurs humaines ! retrouvons-les !

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 19:04

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 12:54
Je reçois des messages de plus en plus bouleversants d’adhérents ou de sympathisants de l’UPR qui m’écrivent pour me faire part de leur détresse et du sentiment d’injustice qu’ils ressentent devant les drames familiaux ou personnels qu’ils vivent.
En voici trois exemples :
1)- C., adhérent UPR dans le Calvados
Il m’écrit :
« Est-ce surfait ? Le grand-père de ma belle-sœur est décédé, le père d’un ami est dans le coma et mon frère s’en remet après avoir souffert, il évacue du pus qui sort de très bas dans le système respiratoire (ils sont tous en Alsace dans le Haut-Rhin).

En tout cas, la crise sanitaire tombe tellement bien pour masquer les causes profondes de la crise financière et détruire les acquis sociaux !

Ne voyez-vous pas que le gouvernement fait tout pour empêcher le déploiement du traitement du Pr Raoult ?

Entendez-vous la détresse des personnels soignants en Italie ?

Savez-vous que des individus testés positifs puis guéris donc testés négatifs sont parfois réinfectés ? Cela signifie que l’immunité ne fonctionne pas…

Tout est étrange dans cette affaire et l’accumulation des erreurs du gouvernement est tellement sidérante que j’ai du mal à croire à de l’incompétence, il s’agit de cynisme…

Je sais que Raoult est une pointure mondiale, ça n’a pas empêché Le Monde de le ridiculiser et le ministère de la Santé de l’ignorer.Mais le fait est que d’après Véran et Salomon, des essais sont engagés, que pendant ce temps il n’est pas question d’utiliser le traitement à l’échelle nationale, il est effectivement administré mais est-il administré par d’autres équipes que celles du Pr Raoult ?
Par ailleurs il serait scandaleux de procéder à des essais en utilisant la méthode placebo pour une partie des patients.
Si ma mère meurt à cause du covid-19 alors qu’il y avait une solution avec la chloroquine, je ne répondrai pas de mes actes. »
2)- S., adhérent UPR en Meurthe-et-Moselle
Il m’a téléphoné ce soir pour m’informer que sa mère, âgée de 65 ans, qui a commencé à avoir de la fièvre et une très forte toux dimanche, a été emmenée lundi par le SAMU au CHRU de Nancy-Brabois où elle a été diagnostiquée positive au Covid-19 et rapidement placée en réanimation.Souffrant d’un cancer et ayant subi une lourde chimiothérapie récemment, sa mère a été placée aujourd’hui en coma artificiel.
Notre adhérent, qui craint une issue fatale, a demandé aux équipes médicales que sa mère puisse bénéficier du protocole du Dr Raoult : chloroquine + azithromycine.
Ce qui lui a été refusé au motif que sa mère avait les poumons trop gravement atteints pour avoir ce traitement.
Pourtant, le CHRU de Nancy a annoncé qu’il allait utiliser le traitement à la chloroquine sur des patients touchés par le coronavirus et l’on avait cru comprendre des plus récentes déclarations du gouvernement que l’usage de la chloroquine pourrait être facilité justement pour les patients les plus gravement atteints.
Comment ne pas percevoir le caractère dramatique d’une telle réponse lorsque le pronostic vital de la patiente est peut-être engagé et que l’on n’a pas d’autre médicament disponible ?

J’ai suggéré à notre adhérent de se faire très insistant demain pour réclamer de nouveau ce traitement.

Il est vrai, cependant, que certains médecins estiment que la chloroquine est à utiliser avant que les cas ne deviennent graves car ce médicament ne soigne pas les lésions pulmonaires ; il fait baisser la charge virale, ce qui justement empêche que les cas deviennent graves et annule la contagion.

3)- Z., sympathisant UPR
Il a laissé ce soir le message écrit suivant sur le formulaire de contact de notre site ( https://www.upr.fr/nous-contacter/ ) :
« Je souhaite poser une question que personne n’ose poser : Pourquoi M. Estrosi et sa femme ont pu avoir de la chloroquine pour se soigner, alors que moi électricien du bâtiment qui a plusieurs symptômes du coronavirus, on me demande de rester chez moi et attendre les complications ? »
Que répondre, si ce n’est que je partage son indignation !
CONCLUSION : le gouvernement doit augmenter massivement le nombre de tests pratiqués et refuser tout deux poids-deux mesures dans le traitement de cette épidémie.
La question de bon sens posée par Z. fait écho à la remarque que je faisais juste auparavant.
Si la chloroquine se révèle particulièrement efficace chez les porteurs asymptomatiques ou peu symptomatiques – et avant qu’ils ne développent une forme sévère de la maladie – il faut impérativement :- développer les tests sur une grande échelle,- et administrer de la chloroquine le plus tôt possible aux personnes testées positives.
Il est absolument honteux et inadmissible que ce traitement semble réservé pour l’instant – de facto – aux patients les plus riches, les plus éduqués ou les plus connus.
François Asselineau
24 mars 2020

 

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23 mars 2020 1 23 /03 /mars /2020 15:20

« En Italie, de plus en plus de monde commence à penser à un lien entre le virus et les vaccins. Si c’est vrai, ça veut dire que l'Italie a été choisie pour servir de cobaye au reste du monde. »


La situation devient de plus en plus dramatique.


Des dizaines de personnes meurent chaque jour en Lombardie.


La belle ville de Bergame vit ses heures les plus sombres. Des camions militaires servent à transporter les cadavres vers les crématoriums à l'extérieur de la ville ; les médecins et les infirmières travaillent 20 heures par jour ; dans les hôpitaux, il n'y a plus de places dans les unités de soins intensifs ; le tri des gens pour choisir ceux qui peuvent être soignés, et par conséquent guéris, et ceux qui ne peuvent pas l’être parce que trop âgés ou malades, devient pratique courante.


Je suis néanmoins de plus en plus convaincu que le virus corona n'est qu'une colossale opération psychologique. Bizarre de dire ça au moment où les gens continuent de mourir. Mais je pense réellement que c'est une opération psychologique !


Dans les autres régions d'Italie où le système de santé est de mauvaise qualité, la situation semble relativement calme, même si le nombre de gens infectés augmente toujours ; L'ISS (Istituto Superiore della Sanità), une sorte d'institut national de santé, vient de publier un rapport dans lequel il est dit que le nombre de victimes effectives du virus corona est très faible ; les médias contribuent à attiser la panique en diffusant principalement des films de catastrophes et en informant les gens du caractère horrible de la situation et de la nécessité de rester chez soi…


Le virus corona a l’air d’être une très forte grippe avec un taux de mortalité s’élevant à 0,8% au lieu des 0,2% de la grippe ordinaire. Mais ces chiffres ne peuvent pas justifier la mise en quarantaine d’une nation entière.


Et en Lombardie le taux de mortalité est vraiment très supérieur, il est de 6% !


Qu'est-ce que ça signifie ? Pourquoi une telle différence dans le taux de mortalité ?


De toute évidence, il doit y avoir un élément exogène qui fait la différence, un élément faisant qu’il est devenu plus facile de mourir du virus corona en Lombardie que dans les autres régions d’Italie, bien que la Lombardie ait le meilleur système de soins de santé du pays.


Et que pourrait être cet élément exogène ? Je crains que cela puisse être l’énorme programme de vaccination qui a eu lieu ces derniers mois, justement dans les villes qui sont aujourd'hui les plus touchées par le virus corona.


Nous savons à présent que des dizaines de milliers de gens ont été vaccinées contre la méningite. La méningite a toujours été rare en Italie, mais malheureusement, ces dernières années, les cas se sont multipliés à cause des migrants africains arrivés en Italie sans contrôle médical.


Effrayées par la propagation de cette maladie, énormément de gens ont préféré se faire vacciner. Tout ceci pourrait expliquer pourquoi il y a actuellement très peu de cas chez les immigrants, même dans la diaspora chinoise. Ils n'ont pas été vaccinés !


En d'autres termes, le vaccin dégrade tellement les défenses immunitaires de notre organisme, que le virus peut frapper avec une virulence incroyable, qui serait impossible autrement.


Je ne puis évidemment pas prouver ce que j’avance. Mais de plus en plus de gens en Italie commencent à penser à un lien entre le virus et les vaccins. Si c’est vrai, cela signifie que l'Italie a été choisie pour être le cobaye du reste du monde.


Frapper une partie limitée de la nation et ensuite imposer la mise en quarantaine à tout le pays… Je pourrais qualifier cela de test de résistance. Le but est de vérifier à très grande échelle la réaction de la population, de voir le degré de facilité qu’il y a à faire accepter aux gens ce qu'ils n’accepteraient jamais autrement.


En conclusion, c'est juste une opération psychologique du nouvel ordre mondial.


 

Henry Makow, Paolo, 20 mars 2020


Original :
Italy- Vaccinated Area is Hit Worst

Adaptation en français de Petrus Lombard

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23 mars 2020 1 23 /03 /mars /2020 09:51

pour vous cultiver et pour réfléchir.

ici Etienne Chouard, le plus profond, le plus humaniste et le plus pertinent penseur politique actuel (à part Bernard Friot) nous explique les enjeux de a création monétaire, et comment changer tout ça

après l'épidémie, il faudra juger les président et ministres félons qui pendant des années ont démantelé notre capital hospitalier. Il faudra sortir de l'UE qui a imposé ce démantèlement à la Franc comme à l'Italie.

Mais il ne faut pas s'arrêter là ! Et donc d'abord continuer le grand mouvement e révolte et de conscientisation des gilets jaunes. Etienne Chouard vous fourni les outils de compréhension, regardez toutes ses vidéos.

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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 14:58

(NB : depuis hier Youtube cet infâme engin à répugnant du totalitarisme capitaliste, censure systématiquement TOUTES les vidéos intégrées dans un site de blog !!!!!!!!!! Il faut donc à chaque fois se DEPECHER, avant d'avoir le message de blocage, de cliquer sur l'icone qui fait regarder la vidéo directement sur le site de youtube, sinon vous êtes foutus !vous ne verrez rien !

 

 

toujours plus d'occidentalisation et d'uniformisation, toujours plus de totalitarisme capitaliste, toujours plus de flicaille.

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21 mars 2020 6 21 /03 /mars /2020 20:34

(NB : depuis hier Youtube cet infâme engin à répugnant du totalitarisme capitaliste, censure systématiquement TOUTES les vidéos intégrées dans un site de blog !!!!!!!!!! Il faut donc à chaque fois se DEPECHER, avant d'avoir le message de blocage, de cliquer sur l'icone qui fait regarder la vidéo directement sur le site de youtube, sinon vous êtes foutus !vous ne verrez rien !

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21 mars 2020 6 21 /03 /mars /2020 17:51
Il y a là matière à révolution: il est bien certain qu'Emmanuel Macron est le dernier homme pour la réaliser.

Après le virus, il faudra y songer.
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20 mars 2020 5 20 /03 /mars /2020 18:42

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 21:51
QUELLES MAINS INVISIBLES INJECTENT LA PESTE ET CONTAMINENT LES MOUCHES ? PAR MUSTAPHA SAHA

hotographie : Edgar Morin et Mustapha Saha.


Les vivants d’aujourd’hui pourront témoigner, sans être pris pour des fous, qu’ils ont vécu la fin du monde. L’apocalypse se réalise à l’échelle planétaire. Aucune fraction de l’humanité n’échappe au cataclysme. Les pays s’enclosent. Les frontières se ferment. Les avions s’abandonnent sur le tarmac. Les navires se déroutent. Les peuples se terrent. Les sociétés s’immobilisent. Les économies se paralysent. La culture s’ankylose. Les théâtres, les opéras, les cinémas, les music-halls se cadenassent. Les musées, les sites archéologiques se virtualisent. Les individus s’encagent devant leur ordinateur, sans d’autre ouverture que leur lucarne à cristaux liquides.

Le président, d’un ton martial, déclare la guerre au virus,
et par-delà, aux velléités de résistance des réfractaires, des frondeurs, des regimbeurs, des irresponsables, des inconscients qui, faute de cafés ouverts, s’agglomèrent dans les parcs publics et les berges de la Seine. L’anaphore « Nous sommes en guerre » se martèle comme un coup de clairon. « Une guerre sanitaire». Paradoxe des paradoxes, une guerre thérapeutique. La rhétorique jupitérienne, à force de justifier l’audace des oukases, finit par se trahir : « Jamais la France n’avait eu à prendre de telles décisions par temps de paix ». « La situation est grave, mais qu’est-ce que cela prouve ? Cela prouve qu’il faut des mesures encore plus exceptionnelles » (Albert Camus, La Peste, éditions Gallimard, 1947). La théorie microbienne des maladies impose la viralisation mentale, la moléculisation sociétale, l’atomisation totale. « L’ennemi est là, invisible, insaisissable ». La personnalisation du poison amplifie l’angoisse. « Les regroupements familiaux ou amicaux ne sont plus permis ». Les boucs émissaires sont les autres, tous les autres, condamnés préventivement pour leur proximité physique. S’invente le délit de contact. Il est désormais interdit de se tenir la main sous peine d’une forte amende. Les agents sanctionnateurs traquent sans merci les accolades, les embrassades et les promiscuités coupables. Cent mille policiers et gendarmes sont mobilisés pour effectuer les contrôles et aligner les contraventions. Se joue, à vrai dire, une répétition générale d’incarcération globale de la population.

L’idéologie sécuritaire s’infiltre dans l’intime sous prétexte hygiénique. Les gestes-barrières formatent les comportements et les agissements. S’entretient la phobie collective à force de dramatisations graduellement intensifiées. Se distillent les mots-clés anxiogènes. Les contraintes s’ajoutent aux contraintes jusqu’à privation de la liberté de circulation. La disciplinarisation des citoyens ne souffre aucune contestation. Se dissimule sous discours d’urgence des modalités de conditionnement de la population, d’habituation au consentement, de domestication des consciences. « Nos concitoyens se sont mis au pas. Ils se sont adaptés, comme on dit, parce qu’ils ne peuvent pas faire autrement. Ils ont encore, naturellement, l’attitude du malheur et de la souffrance, mais ils n’en ressentent plus la pointe. C’est cela le malheur. L’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même » (Albert Camus, La Peste). Le président : « À mesure que les jours suivront les jours, que les problèmes succéderont aux problèmes, il faudra, en lien avec les éclairages donnés par les scientifiques, nous adapter ». « Vous avez cru que tout pouvait se mettre en chiffres et en formules. Mais, dans votre belle nomenclature, vous avez oublié la rose sauvage, les signes du ciel, les visages d’été, la grande voix de la mer, les instants du déchirement et la colère des hommes… Le désespoir est un bâillon. C’est le tonnerre de l’espoir, la fulguration du bonheur qui déchirent le silence de cette ville assiégée… Détruisez vos certificats, crevez les vitres des bureaux, quittez les files de la peur, criez la liberté aux quatre coins du ciel… Jetons tous ces bâillons. Sur la terre sèche, dans les crevasses de la chaleur, voici la première pluie. Voici l’automne où tout reverdit, le vent frais de la mer » (Albert Camus, L’Etat de siège).

Dans sa retraite montpelliéraine, mon ami Edgar Morin allume chaque soir sa lanterne philosophique, lance de temps en temps une flèche éclairante dans la confusion twitterienne. J’assemble, combine et recombine ses aphorismes sur le coronavirus. « La prévisible imprévisibilité est arrivée. Le petit virus a déclenché sur la planète des interactions et des rétroactions innombrables. Le coronavirus a non seulement éclairé crûment l’interdépendance et la communauté de destin des peuples du monde, il la perturbe en y introduisant de nouveaux conflits. Plus je lis des informations sur le virus, sur les stratégies de lutte, sur le confinement et ses conséquences à terme, et plus je suis dans l’incertitude. Alors, il faut supporter toniquement l’incertitude. L’incertitude contient en elle le danger et l’espérance. Les confinements prolongés, les transports bloqués, les frontières fermées dans un monde interdépendant auront des effets énormes. On en arrive à l’état de siège total contre les milliards d’invisibles passe-frontières et passe-murailles. Faut-il plonger dans plus de chaos pour pouvoir en sortir ? Le Corée du Sud, où le taux de mortalité est le plus faible, a endigué l’épidémie sans confinement ni mesures coercitives. Une autre voie a été choisie : l’hygiène, la détection systématique des malades, l’information et les soins individualisés. La vie est une chose fabuleuse, étonnante, incroyable, créatrice, que l’on trivialise et banalise en la réduisant à des jeux de molécules » (Edgar Morin, mars 2020)

L’interdiction des rassemblements
signifie aussi la prohibition des activités collectives, la proscription des manifestations protestatives, la répression des volontés rétives. L’inconscient collectif ingère les nouvelles lexies frustratives, le confinement, pour ne pas dire cloisonnement, enfermement, la distanciation sociale, pour ne pas dire éloignement, séparation, les gestes-barrières…. "Ce que nous devons faire en ce moment, c’est tout simplement éviter au maximum de se rassembler, limiter les réunions amicales et familiales, n’utiliser les transports en commun que pour aller au travail et seulement si la présence physique au travail est indispensable, ne sortir de chez soi que pour faire ses courses essentielles ». « Impatients de notre présent, ennemis de notre passé, privés d'avenir, nous ressemblons bien à ceux que la justice ou la haine humaines font vivre derrière des barreaux » (Albert Camus, La Peste).

L’épreuve incontrôlable, ingérable, devient une aubaine pour reprendre les cartes en main, renverser le jeu politique, faire renaître le phénix de ses cendres. La nécessité occulte l’austérité. Le golem rothschildien se rooseveltise. L’intrépide néolibéral se métamorphose en samaritain providentiel. Une société totalement paralysée n’est-elle pas le meilleur étouffoir des grèves récurrentes, des colères transparentes, des récusations populaires. La presse répercute docilement les semonces présidentielles comme des prescriptions impératives. « La presse, si bavarde dans l’affaire des rats, ne parle plus de rien. C’est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre. Et les journaux ne s’occupent que de la rue » (Albert Camus, La Peste).

Le président s’entoure d’un Conseil scientifique, investi de prérogatives exclusives, composé de onze membres, huit médecins, un mathématicien, un sociologue, une chercheuse, tous spécialistes d’immunologie, d’infectiologie, de virologie, d’épidémiologie, de réanimation. L’encoffrage de soixante-six millions de personnes dépend d’une poignée de techniciens. L’incohérence se drape d’intransigeance. Le président du Conseil scientifique motive le confinement par l’accélération de la contagion, mais aussi par l’attitude problématique des citoyens. La raison sanitaire légitime les liberticides. On dresse le bétail. On achève bien les chevaux. Pour effectuer des achats de première nécessité, sortir pour des soins médicaux, se porter au secours d’un proche en détresse, se rendre à une activité professionnelle qui ne peut être accomplie sous forme de télétravail, il faut être muni d’une attestation de déplacement dérogatoire en bonne et due forme. «Deux ou trois médecins s’exclament. Les autres semblent hésiter. Quant au préfet, il sursaute et se retourne machinalement vers la porte, comme pour vérifier qu’il a bien empêché cette énormité de se répandre dans les couloirs… Les hypothèses, en science comme dans la vie, sont toujours dangereuses » (Albert Camus, La Peste).

Le président concède que « dans l'immense majorité des cas, le Covid-19 est sans danger », sauf bien entendu, pour « les personnes âgées ou affectées par des maladies chroniques comme le diabète, l’obésité ou le cancer ». Le discours équivoque, ambivalent, élusif, salue les citoyens pour leur calme et leur civisme, et les critique pour leur grogne et leur indiscipline. Le technocrate récuse méthodiquement l’imprévisible, l’insoupçonnable, l’inexplicable, tout ce qui échappe à ses planifications rigides. Et dans les situations imprédictibles, il se réfugie derrière la science. La science, rien que la science. La science comme connaissance absolue, irréfutable, irrécusable. Le Conseil scientifique est érigé en d’arbitre suprême. Tous les autres ne sont que des « experts autoproclamés ». Le président : « Les irresponsables ne deviennent pas intelligents avec un simple virus ». A bon entendeur politique, salut.

L’éponge rhétorique absorbe sans complexes ses paradoxes, ses contradictions, ses dissonances. Le virus sans passeport dicte les pires mesures protectionnistes, impose des frontières entre régions, entre villes, entre quartiers, entre personnes. « A l’intérieur même de la ville, on isole certains quartiers particulièrement éprouvés... Ceux qui y vivent considèrent cette mesure comme une brimade spécialement dirigée contre eux et pensent, par contraste, aux habitants des autres quartiers comme à des hommes libres. Ces derniers, en revanche, dans leurs moments difficiles, trouvent une consolation à imaginer que d’autres sont encore moins libres qu’eux » (Albert Camus, La Peste). Se justifient les agonies dans la solitude. « Les malades meurent loin de leur famille. On interdit les veillées rituelles si bien que celui qui est mort dans la soirée passe sa nuit tout seul... C’est au moment du malheur qu’on s’habitue à la vérité, c’est-à-dire au silence » (Albert Camus, La Peste).

Le préfet du Morbihan suspend toutes les messes, toutes les obsèques, toutes les épousailles, toutes les célébrations publiques. Les séances de catéchèse et d’aumônerie sont annulées. Les fidèles suivent les cérémonies religieuses par procuration sur les ondes de Radio Sainte Anne. L’archevêque de Paris dispense ses ouailles de l’obligation dominicale. Les curés célèbrent la Messe et les Vêpres entre eux. Pendant la confession, le prêtre garde une distance sanitaire d’un mètre avec le pénitent. « Trop longtemps, ce monde a composé avec le mal, trop longtemps, il s’est reposé sur la miséricorde divine » (Albert Camus, La Peste). Lourdes, capitale des miracles, ferme ses portes pour la première fois de son histoire. La Sainte Vierge elle-même est mise en quarantaine.

L’efficacité recommande le confinement à la source, et quand les sources se déplacent et se multiplient, c’est l’humanité entière qui se retrouve en ergastule. Les rumeurs ancestrales, les peurs séculaires, se réactivent et se répandent sur le web comme vérités éternelles. Les recommandations prophylactiques côtoient les recettes délirantes. Des mécréants se remettent à jeter du sel par-dessus l’épaule pour éloigner le virus délétère, neutraliser son mystère, amadouer les mauvais esprits. Retour spectaculaire au millénarisme. L’apocalypse s’abat sans crier gare sur le monde à la dérive. Nous voilà devant les sept plaies d’Egypte et la malédiction de pharaons. « Les eaux du fleuve se changent en sang. Les grenouilles envahissent les terres. Les poussières se transforment en moustiques. Les mouches dévorent les corps. Les sauterelles dévastent les cultures. Les troupeaux périssent. Le pays entier plonge dans les ténèbres » (Le Livre de l’Exode). La mémoire collective intériorise d’ors et déjà le coronavirus comme un désastre historique. Les réseaux internétiques donnent au fléau une ampleur mythique. La charge émotionnelle prend une démesure tétanisante. Le terreau des légendes se fertilise. Le traumatisme partagé annonce des ruptures irréversibles. « A mesure que les jours passent, on se met à craindre que ce malheur n’ait véritablement pas de fin et, du même coup, la cessation de l’épidémie devient l’objet de toutes les espérances. On se passe ainsi diverses prophéties de mages et de saints. Des imprimeurs voient très vite le parti qu’ils peuvent tire de cet engouement… Lorsque l’histoire elle-même est à court de prophéties, on en commande aux journalistes qui, sur ce point au moins, se montrent aussi compétents que leurs modèles des siècles passés » (Albert Camus, La Peste).

Le président : « Je vous demande de continuer à faire des sacrifices et plutôt d’en faire davantage pour notre intérêt général ». « Le prêche rend plus sensible à certains l’idée, vague jusque là, qu’ils sont condamnés pour un crime inconnu à un emprisonnement inimaginable… La seule façon de mettre les gens ensemble, c'est encore de leur envoyer la peste » (Albert Camus, La Peste). Le président : « Nous fermons, sans délai, les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités pour une raison simple, nos enfants et nos plus jeunes, selon les scientifiques toujours, propagent, semble-t-il, le plus rapidement le virus, même si, pour les enfants, ils n’ont parfois pas de symptômes et, heureusement, ne semblent pas aujourd’hui souffrir de formes aiguës de la maladie ». Une jeunesse entière cloîtrée par principe de précaution. « Ce n’est pas la loi qui compte, c’est la condamnation… Si c’était un tremblement de terre ! Une bonne secousse et on n’en parle plus. On compte les morts, les vivants, et le tour est joué. Mais cette cochonnerie de maladie ! Même ceux qui ne l’ont pas la portent dans le cœur » (Albert Camus, La Peste).

Les politiques ne tranchent plus entre le pour et le contre. Ils n’ont d’autres obsessions que les transitions électorales, la conquête du pouvoir, qu’ils gèrent au hasard. « Leur seule tâche consiste à donner des occasions à ce hasard qui, trop souvent, ne se dérange que provoqué » (Albert Camus, La Peste). Je pense à ce dialogue entre Denis Diderot et Jean Le Ronde d’Alembert : « Diderot : Croyez-vous qu’il y ait une seule question discutée sur laquelle un homme reste avec une égale et rigoureuse mesure de raison pour et contre. D’Alembert : non, ce serait l’âne de Buridan ». L’âne de Buridan ou l’allégorie selon laquelle un âne est mort de soif et de faim parce qu’il n’a su choisir entre le sceau d’eau à sa droite et le pot d’avoine à sa gauche. « Diderot : en ce cas, il n’y a donc point de sceptique, puisqu’à l’exception des questions de mathématiques, il y a du pour et du contre dans toutes les autres. La balance n’est donc jamais égale, et il est impossible qu’elle ne penche pas du côté où nous croyons le plus de vraisemblance. D’Alembert : Mais, je vois le matin la vraisemblance à ma droite, et l’après-midi, elle est à ma gauche. Diderot : C’est-à-dire que vous êtes dogmatique pour le matin, et dogmatique contre l’après-midi. D’Alembert : Et le soir, quand je me rappelle cette circonstance si rapide de mes jugements, je ne crois rien, ni du matin, ni de l’après-midi. Diderot : C’est-à-dire que vous ne vous rappelez plus la prépondérance des deux opinions entre lesquelles vous avez oscillé, que cette prépondérance vous paraît trop légère pour asseoir un sentiment fixe…» (Diderot : Le Rêve de d’Alembert, 1769, éditions Marcel Didier, 1951).

Nous sommes, dans tous les domaines, dans la fabrique du doute. Le néolibéralisme confectionne,
avec un art consommé, des rideaux de fumée pour transformer le mal en bien et le bien en mal. La fabrique du doute, conçue par l’industrie du anti-tabac dans les années cinquante, génère des lobbyings redoutables. Les laboratoires pharmaceutiques financent les fausses études scientifiques, manipulent les protocoles méthodologiques, instillent la perplexité dans les esprits, corrompent les décideurs politiques, contrecarrent furieusement l’interdiction des médicaments toxiques. Il est pourtant prouvé que le paracétamol, molécule présente dans deux cents analgésiques, prise à forte dose, détruit irrémédiablement le foie. L’Agence du médicament se contente d’inciter les fabricants à inscrire un avertissement sur les boîtes. L’endoctrinement des consommateurs transite par les médias sans scrupules. Les substances nuisibles s’écoulent librement dans les pharmacies. Il en va de même pour les pesticides, les organismes génétiquement modifiés (OGM), les additifs alimentaires léthifères… Il est avéré que le bisphénol, composé chimique utilisé massivement dans la fabrication des plastiques et des résines, et qui imprègne maintenant les papiers, est cancérigène, avec des effets catastrophiques sur la reproduction, le métabolisme des sucres et des graisses, les pathologies cardiovasculaires. La société de consommation empoisonne le peuple en toute légalité malgré les rapports alarmants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

La gestion de la crise du coronavirus révèle des projets de restructuration économique, de réorganisation sociétale, élaborés de longue date. Se dévoilent les alternatives programmées, les robotisations fantasmées, les remodelages des services publics, les virtualisations abstractives,
la dislocation des sociabilités dans l’atomatisation généralisée. Les écoles se dissolvent subrepticement dans les plateformes en ligne. Le président : « Je demande aux entreprises de permettre à leurs employés de travailler à distance. Nous avons beaucoup développé le télétravail. Il faut l'intensifier au maximum ». Un vieux rêve technocratique. Le télétravail, baptisé telecommuting par Jack Nilles, est perçu par le gouvernement français, dès les années soixante-dix, comme une méthode d’aménagement du territoire. Le juste-à-temps, ou flux tendu, issu du toyotisme, promu par le rapport Martin Bangemann (1994) et la commission européenne, utilise l’ordinateur personnel comme outil d’externalisation, de délocalisation, de précarisation de l’emploi. L’ordonnance du 24 septembre 2017, dont la paternité revient au président, définit comme télétravail « toute forme d’organisation dans laquelle un travail, qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l’employeur, est effectué par un salarié hors de ces locaux, de façon volontaire, en utilisant les technologies de l’information et de la communication ». Un simple accord épistolaire ou verbal suffit. Aucun avenant au contrat de travail n’est exigé. L’accord de l’employé n’est pas requis dans les circonstances exceptionnelles d’épidémie et de force majeure. L’inviolable « continuité de l’activité de l’entreprise » permet toutes les dérogations. Le tiers des salariés français du privé ont été placés en télétravail pendant les mouvements sociaux contre la réforme des retraites. Ainsi se réalise l’intangible désirabilité patronale dans la flexibilisation des ressources humaines, l’augmentation de la productivité, la réduction des investissements, des coûts et des frais généraux, l’optimisation des profits. La logistique s’y prête. Trente millions des foyers français sont pourvus d’un Internet fixe haut débit (ADSL) ou très haut débit (fibre ou 4G). Le paradigme néolibéral instrumentalise la révolution numérique, les technologies de l’information et de la communication, pour cognitiver la machine et déshumaniser l’humain. Le brouillage du temps personnel et du temps professionnel se traduit par des pratiques internétiques addictives et des comportements autistes. Des mutualisations anciennes disparaissent. Des pathologies psychiques inédites apparaissent.

 

(depuis 1980 à Arras les 3/4 des cafés ont disparus!) - d’ailleurs on n’a plus le droit d’y fumer et ils sont tous sous les mufles hideux de caméras de vidéo-surveillance ! (et après il sera interdit d’y boire de l’alcool, bien sûr ! puis aussi du café, et quoi encore ? d’y boire des boissons sucrées, de toucher un autre client, et ensuite ?

Le mea-culpa présidentiel rappelle un triste souvenir, la fameuse phrase « Mon véritable adversaire, c’est le monde de la finance » (discours du Bourget 22 janvier 2012), immortalisée, sans d’autres effets, dans les anthologies des formules démagogiques. Le président : « Il nous faudra demain tirer les leçons du moment que nous traversons, interroger le modèle de développement dans lequel s’est engagé notre monde depuis des décennies, qui dévoile ses failles au grand jour, interroger les faiblesses de nos démocraties. Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, est un bien précieux, un atout indispensable quand frappe le destin. Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, nos soins, notre cadre de vie à d’autres est une folie… Les prochaines semaines et les prochains mois nécessiteront des décisions de rupture en ce sens. Je les assumerai ». Et l’on retrouve la sainte maxime des temps de guerre, « cette union sacrée qui consiste à suivre tous ensemble un même chemin ».

« La bêtise insiste toujours… Nos concitoyens, à cet égard, sont comme tout le monde. Ils pensent à eux-mêmes, autrement dit, ils sont humanistes. Ils ne croient pas aux fléaux. Le fléau n’est pas à la mesure de l’homme. On se dit donc que le fléau est irréel, c’est un mauvais rêve qui va passer. Mais, il ne passe pas toujours et, de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui passent, et les humanistes en premier… Nos concitoyens ne sont pas plus coupables que d’autres. Ils oublient d’être modestes, voilà tout. Ils pensent que tout est possible pour eux, ce qui suppose que les fléaux sont impossibles. Ils continuent de faire des affaires, ils préparent des voyages. Ils ont des opinions. Comment penseraient-ils à la peste qui supprime l’avenir, les déplacements et les discussions ? Ils se croient libres. Personne n’est jamais libre tant qu’il y a des fléaux » (Albert Camus, La Peste).

Mustapha Saha
Sociologue, poète, artiste peintre.

*Nouveau livre : Mustapha Saha, Haïm Zafrani, Penseur de la diversité, éditions Hémisphères / éditions Maisonneuve & Larose, Paris, 2020.

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2CCR

ALAIN BENAJAM
un paysan de l'Allier

http://www.petitions24.net/forum/47277
 Quand on vit dans l'Europe actuelle,on comprend le dégoût et la haine que les gens d'Europe de l'Est avaient pris pour la langue russe
une effarante chape de plomb médiatique pèse sur le basculement linguistique en cours
    defenselanguefrancaise.org Aujourd'hui il y a sur les murs de Paris plus de mots anglais qu'il n'y avait de mots allemands pendant l'Occupation (Michel Serres) Seuls les banquiers peuvent voler le peuple en plein jour sans avoir la police aux trousses...Jovanovic : il faut NATIONALISER LES BANQUES sans aucune indemnité, et mettre au point un tribunal pour les traduire en justice

le NWO alias le N.O.M. = Nouvel Ordre Mafieux

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Il faudra bien tenter de trouver des réponses, même si celles-ci peuvent s’avérer explosives 

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MANIPULATION TOTALITAIRE DIGNE DE L'URSS   Les millliards perdus du Pentagone

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Tous ses nouveaux articles sont du plus haut interêt

ambiance de merde, société détraquée et psychosée, rumeur meurtrière, flicaille 1 mort innocent tué par la bétise des gens 

"Tout pouvoir corromp, tout pouvoir absolu corromp absolument" il n'y a pas de pire poison de PIRE en PIRE

 Les pilotes français des avions qui ont fait ça vont-ils être poursuivis par leur conscience pour le restant de leur vie  ? 

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Saddam face à l'histoire  

le racisme est en dernière analyse un racisme anti-pauvres reflechissez ... à quand une assoc anti-raciste pour défendre ceux-ci ? ça risque pas: les assoc anti-racistes sont composées de riches et de bourgeois !  L'Occident va crever de ne plus se toucher 

DES GENS 15è arrond. Quand Paris était encore une ville du peuple
défendons la langue française
et les autres domo dico 

 

 

La vraie vie  reconnaitre les papillons  découvrir le monde des insectes: FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres 

tous les oiseaux leur chant etc

France actuelle: HORREUR ABSOLUE à quoi on nous prépare 

17 mesures d'URGENCE
le monde dont nous voulons le contraire de celui qu'on nous impose  tout ça va bientôt être INTERDIT par les arrêtés municipaux fascistes détraqués

http://dont-stop-the-chicha.skyrock.com/

"il va falloir reconnencer à sculpter les facades des maisons, à vivre dans le beau, pourquoi toujours la merde et la sous-merde ?!"

ne pas laisser tomber avant d’avoir commencé, nos enfants ont besoin de nous

dépéchez-vous avant que les règlements municipaux n'interdisent de mettre des plantes odoriférantes dans son jardin: semences BIO de fleurs et de légumes rares 

Joseph Moshe? on a retrouvé Joseph Moshe ! mais comment se fait-il qu'aucune date de liberation n'est indiquée, ni de jugement? et comment se fait-il qu'aucun journaliste n'a pris la peine d'aller le visiter pour en avoir le coeur net sur ce qu'il est?

Diana

Il y a eu 2 génocides, sauf que le deuxième n'a bénéficié d'aucune commémoration

http://www.parasciences.net/

CABANES DANS LES ARBRES

TOUTES LES GALAXIES !

KURT SONNENFELD

Bruxelles 11 septembre 2008

vidéo à regarder jusqu'au bout, c'est là que se trouve le plus important !!

petit à petit ça se sait LA NATURE DU CAPITALISME et la psychologie de ses "kapos"

Chute libre dans la barbarie tout citoyen français vit maintenant dans une insécurité de tout instant, à chaque moment un cauchemar ignoble peut s'abattre sur lui quand on vous disait de pire en pire contre ces horreurs, ce cancer qui ronge la FRANCE lapétition 

pour le receuil de témoignages

la France montrée du doigt par Amnesty International pour les excès de la police et  l’impunité dont jouissent leur auteurs (la Chine nous donne une leçon !)  faute de structure d’enquête indépendante et avec une justice plus prompte à classer les affaires qu’à les juger. et voilà un qui lâche le morceau et explique beaucoup de choses - un témoignage de l'intérieur! - plein d'exemples de cette mentalité Tout ça vient de leur impunité
 http://outre-vie.forum
poésie et astronomie

poésie de Francis Jammes
* discours anti-secte comme support de l’idéologie néolibérale *
apparitions en Egypte

 Daninos disait: "L'esprit, comme le parachute, doit être ouvert pour fonctionner."
* les OVNIs en Argentine 



la lettre de la vieille dame :

les Bistrots Résistants

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre "les Bistrots Résistants" en bleu sous le cadre, qui sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée

 

Ne plus respecter les lois liberticides
 
Zygmunt Bauman
"On a beau parler des droits de l'homme, il faut d'abord respecter l'individu et sa liberté. Sinon, c'est du vent, un beau discours qui ne sert à rien à nous les vivants." (Gao Xingjian)

PAUVRE ARGENTINE!

SANS DROITS SANS VOIX

féroce inégalité des sexes ! quand cela cessera-t-il ?
l'affaire Fortin
halte à l'inhumanité du racisme anti-homme !

papillons  - en 2008  carabus coriaceus ?
oiseaux  dictionnaire HINDI

c'est délicieux  !

cuisine de Rosine
cuisine syrienne
v Merveilleux tableaux

vun miracle nommé Bubulle
une analyse sociologique lumineuse des dérives actuelles :

le critère? être minoritaire !!

"nos impôts utilisés à payer des hystériques qui traitent de secte tous ceux qui ne se soignent pas ou ne pensent pas comme tout le monde."dry.gif

la-delation-aveugle/

"L'enfer est pavé de bonnes intentions" v


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texte libre 4 en haut à droite

texte libre n° 2 à droite au milieu

ECOUTER en LISANT: (Phil Glass)

années 50 époque moins constipée que maintenant qu'est-ce qu'on vous regrette !
Je suis un sentimental - Eddie Constantine SaveFrom.net

NOUVEAU:  ICI LES CHANTS DE TOUTES LES ESPECES D'OISEAUX DU MONDE ENTIER  

Voyages en ASIE

 

FLORE EN LIGNE !

identification des plantes

identification des fleurs composées (à capitule)

herbier très détaillé des espèces les plus courantes

 

IMMONDE ! on se croirait en URSS !

alors la frontière n'existe plus: http://www.maitrepo.com/a

Haïkus

jouer au TAROT : télécharger

rue Affre  

  Fabuleux ROSSINI SaveFrom.net
v Abdelhalim Hafez

v "ah  mais ça ne finira jamais"
v Je veux dire au monde une histoire
*pour découvrir le monde des insectes, FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres
c'est vrai, en France aussi on ne voit presque plus jamais de mouches! comment ça se fait?

tous les oiseaux, chants, etc

situation  terrifiante

v NOTRE PLANETE INFO

Que reste-t-il de la démocratie?
Une vraie société c'est ça

une évolution politique véritablement glaçante  

le vin le meilleur aliment anti-vieillissement:

¿Seremo entregados a los barbaros fieros?
¿Tantos milliones de hombres hablaremos inglés?
¿No hay mas nobles hidalgos ni bravos caballeros ?
¿Callaremos ahora para llorar despues? (Ruben Dario)

patriotisme pas mort vive la Russie !



Tites boules émotives pour vos commentaires
                                     
 
                

PLIAJ MIENETOJ

d'autres ici

nous ne sommes qu'une poignée à percevoir la gravité du phénomène et ses menaces sur les libertés individuelles.pureté et santé ces notions ont été un cocktail explosif chaque fois que l'Etat s'est focalisé névrotiquement dessus n'est-ce pas ?le tabac comme "rideau de fumée" 

le si beau et si expressif visage de barbara !  on aurait envie de le couvrir de baisers  "Quand reviendras-tu ?"

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre " Quand reviendras-tu?" en bleu au-dessus du cadre,ili sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée



http://www.lipsheim.org/forum/agora/
*
éthique des bistrots versus milices 

1/ Ne plus être muet : faire circuler ces informations autour de soi.
2/ Ne plus financer la mondialisation : consommer uniquement local, régional, artisanal.
3/ Ne plus respecter les lois liberticides : désobéir.
4/ Ne plus consommer la propagande : jeter sa télévision et sa radio.
5/ Ne plus être invisible : parler, faire du situationisme, occuper la rue.
6/ Ne plus être un esclave : devenir paysan, artisan, commerçant, indépendant.
7/ Ne plus être dépendant : devenir autonome (énergie, alimentation, santé, culture).
8/ Ne plus être un robot : rire, danser, chanter, dessiner, fumer, boire, partager, découvrir, etc.

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