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puisque le nouvel over-blog est une vraie merde mon futur blog sera (y aller regarder dès maintenant) : http://miiraslimake.eklablog.com
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  "Sur vojo de l'vivo nun vagas mi sola,
Senzorge al kie la tempo min blovas;
Ĉar, kvankam min celus eĉ vorto konsola,
En aĝ' mia nuna mi vivi ne povas" (Edmond Privat)Presidentielles 2012 sortie de l'euro 
Union populaire republicaine
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Texte Libre 1 en-tête

VIVE LE MRAP ! VIVE LES CATHOLIQUES !

le scandale du siècle Durant 50 ans on a cultivé l'horreur de l'URSS son totalitarisme, sa barbarie cauteleuse, ses flics puants, son intrusion dans la vie privée des gens, on nous a fait peur de ce contre-modèle c'était l'abomination le danger qu'on opposait à nos pays civilisés et libres Et dire qu'on était prêt à faire la guerre pour ne pas tomber dans une telle société maintenant on les imite! en pire ! u-p-r Asselineau le seul qui interdira les RFID LA Banque Centrale Européenne n'est « INDÉPENDANTE » que d'une seule chose : DU SUFFRAGE UNIVERSEL  Arnaques de la GRANDE DISTRIBUTION Turquie état policier barbare pour nos enfants nos familles la société Refus TOTAL directive scélérate Les américains ont PEUR de s'indigner c'est le but recherché Morts etat-d'Anne  LES MOTS argument de mouton fasciste DEFENSE des DATES seuls ceux qui ont connu ça comprennent horreur Mépris des gens atteintes à leur dignité et conditions de vie ce qui viendra après LES LABOS  Marksaj studoj

à BAS l'invasion amerloque ! à bas l'anglicisation obsessionnelle d'OVER-BLOG !!!

Recherche

Texte libre 2 en bas à droite

Un seul Etat ce n'est pas l'apocalypse ni la fin du monde

on n'avait plus entendu ce genre de propos depuis la fin de l'URSS et du KGB

avant la purification ethnique 
v"ce qu'il y a de terrible quand on cherche la vérité c'est qu'on la trouve"
v Kawther Salam
ECOUTER en LISANT:

un peu de métaphysique

un chagrin insondable

v Shajarian :

Kazi Nazrul Islam le grand poète bengali


Dum vivas mi :

*Le Temps des Fleurs (et le temps où Dalida vivait)

* Un jour tu verras 

Steve Reich:

 

BRUCH le plus puissant concerto 

Ils disent

 Natacha Atlas :


Savoir, résister, avant qu'il ne soit trop tard

des choses que vous n'avez pas vues à la télé

(que réfléchissent ceux qui se chauffent au fuel: Est-ce que vous retrouvez vos chaudières effondrées après une nuit de fonctionnement?)

v la fatwav les humanistes commencent à prendre peurv Espace Libre

par exemple

les "experts" en qui on met notre confiance sont achetés et mententv

SAVEZ-VOUS QUE MAINTENANT IL Y A UN DICTIONNAIRE chinois- français SUR INTERNET ?

v sud de l'Iran
v les couleurs de l'INDE

v mousselines: "vents tissés" disaient les romains

histoire de l'INDE - 1ère partie

nostalgie d'Alger

l'argentine  est un des plus beaux pays au monde
v à la frontière Sino-Mongolev monts Altaï en Sibérie:  Fabuleux !v la Pologne

on vous donne des idées caricaturales sur les gens,
les trouvez-vous vraiment "constipés" ces iraniens? :
sauf comme tout le monde quand ils sont sur la  tombe de leur mère

v devant une logique comme celle-là le refus doit être total ! v  

Un texte capital à lire "comme boivent les poules: en relevant fréquemment la tête pour faire couler" : Le racisme anti-pauvres

toutes les espèces végétales et animales aves liens images etc
 SEA SHEPHERD

La végétation d'Uruguay

TOUTE l'actualité scientifique

DANIEL faisait partie du "Mouvement du Graal"en mémoire de lui les voici

présentation

 

v ATTRACTEURS ETRANGES v fractales v Morphogénèse

v NOUVEAU ! Un portail sur le monde musulman

carnets de poésie

Comte-Sponville

MES PIEDS SE SONT SEPARES DE TES PIEDS

La nature vampirique du capitalisme actuel qui vit de suçer la vie des êtres et des peuples":
Le capitalisme est devenu le plus grand ennemi de  l'individu
vie cauchemardesque des américains de classe moyenne
v une vision autoritaire et monochrome de la société


Archives

archives totales ">

texte libre 3 = vrai accès aux archiv

17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 18:37
Sur le blog "Le modem de françois" j'ai trouvé cette pensée de Sarah Bernhardt:

"Il faut haïr très peu, car c'est très fatiguant, (très juste, la haine, la rage, la peur font mal, mais que faire ? dans certaines circonstances ... ) ....

il faut mépriser beaucoup, ( quoique Chateaubriand, lui, disait :« Il faut être économe de son mépris, en raison du grand nombre de nécessiteux. »)

pardonner souvent, (exact) ....

mais ne jamais oublier." (encore plus exact, en tout cas moi, je n'oublie pas )




Et "pardonner souvent mais ne jamais oublier" pourrait être une régle au niveau de l'histoire et du "devoir de mémoire", pardonner car sinon il ne pourrait jamais y avoir de paix (regardez ce que la rancune a donné en Yougoslavie récemment !) et TOUS les pays ont beaucoup a se faire pardonner les uns aux autres et surtout, surtout, à leurs propres enfants. Et ne jamais oublier, par exemple ne pas oublier le génocide des indiens d'Amérique hispanique, ni les victimes des chasses aŭ sorcières du XVIème siècle, et ..... plein d'autres gens que justement l'histoire a oublié il est important de les retrouver et de les documenter toutes ces vies broyées, par exemple les fileurs de coton du bengale auquels on avait au XVIIIè siècle coupé le pouce pour qu'ils meurent de faim, etc, etc)


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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 07:50
Benoît XVI s’en prend à "une certaine culture moderne ayant proclamé la mort de Dieu :
"Quand les hommes se proclament propriétaires absolus d'eux-mêmes et uniques maîtres de la création" (...) "la chronique quotidienne" montre "que s'étendent l'arbitraire du pouvoir, les intérêts égoïstes, l'injustice et l'exploitation, la violence dans toutes ses expressions".

Les problèmes et évènements contemporains ne montrent-ils pas qu'il y a là de la vérité, que "ce n'est pas si bête", et que notre "predicament" comme on dit en anglais, la problemaro, le coeur des problème actuel serait en relation avec ça.

Et quand il parle de "mort de Dieu", dont on pourrait pourtant croire que les musulmans pourront comprendre le problème, seuls les cons qui font semblant de réfléchir sur alterinfo, et ceux qui ont une "pensée journaliste", conditionnée et déculturée par les médias et les propos de bistrot, peuvent demander "qu'est-ce qu'il entend par là?". Le moindre étudiant de philosophie en terminale sait de quoi il en retourne, enfin est censé le savoir ...
ce n'est pas la désaffection du culte, ni les quelques maniaqueries que les journaleux et les politiques retiennent des "problèmes" de l'Eglise, rien à voir!  C'est là qu'on voit la montée l'inculture dans notre société, et la perte de la sensibilité!
C'est, bien sûr, la mort de la foi. Et de toute la vision du monde théiste (et l'incompréhension "journalistique" montre bien cette mort !) Comme le suggèrent les cours de philo, la mort de Dieu a été suivie de la "mort de l'homme", et le néo-libéralisme en est bien un sacré symptôme (et il n'y a qu'à relire la livre "L'horreur économique" de Vivianne Forrester, ou regarder le film de 2004 "ULTRANOVA", je trouve que ça saute aux yeux).

Et remarquez que ce pape, que les bourgeois "bobos" n'arrêtent pas de présenter comme un "panzer", un réac (pourquoi ? à cause des homosexuels? ils n'y a pas que ça sur terre quand même !) dénonce l'exploitation, ce que les journalistes type Val et les partis "socialistes" type Hollande/Ségolène ne font plus (et pour cause ils sont somplètemment noyautés, et appartiennent aux classes qui en vivent ! comme les carnivores sont assis sur les horreurs qui se passent dans les abbatoirs).

Les indiens d'Amérique du sud (et nord, s'il en restait), en voilà d'autres encore qui doivent comprendre son discours, l'homme "qui se pense unique maître de la création" ils l'ont toujours dénoncé, depuis les mythes ojibwas jusqu'à leurs chefs d'Etats actuels.

Sans transcendance on peut vivre, même si c'est mal (lisez Unamuno, mais ce n'est pas un bon exemple, la transcendance il savait et sentait très bien ce que c'est) disons Camus, Beckett, Ray Bradbury, Kobo Abe, Haruki Murakami, ou Lecomte-Sponville, mais en général, c'est "mortel".
Et on la remplace par le marché ....
La "Sécurité"
etc
ou toutes sortes d'autres aberrations, on l'a vu.

Bref, même si on se dit qu'il est impossible d'échapper au nihilisme, ou au scepticisme, etc, c'est une réflexion qui mérite d'être considérée, et qui "n'est pas si bête".

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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 09:06

Chacun suppose que...

célèbre page de Karel Ĉapek:

 

"Le ver de terre: Quand les hommes pénètrent la terre, la creusent et la piquent à la pelle, ils ne font cela que pour pour me faire chier! Ils savent bien que je n'aime pas ça, mais ils le font exprès, juste pour me donner du chagrin.

La chenille: Ha ouais ! devenir papillon, moi? Superstition de vieille femme ! pure illusion ! fable infantile ! Il est scientifiquement prouvé que nous, les chenilles, nous n'avons en nous que viscères, et pas d'ailes, aucune paire d'ailes colorées. On rampe, on meurt et tout est fini!

La fourmi: Ce n'est pas moi qui décide d'aller en guerre, mais la fourmilière.

La mouche à la fenêtre: Je sais bien où se trouvent les limites du monde réel


Le miroir: L'être humain n'est qu'un reflet de mon imagination.

Le pot de fleur: Selon vous je ne suis qu'un bout d'argile cuit, n'est-ce pas? Moi? Vraiment ? Regardez donc un peu ce qui pousse de moi.

 

Les planches de la barrière: Regardez ces crétins d'arbres, rien d'autre que des branches, et aucun ordre!

Le piquet de la barrière: Vos gueules les planches !... La barrière, c'est moi!

Les mauvaises herbes: Merveilleux les arbres? Quelle idée! Vous verrez, moi quand j'aurai cinq cent ans!

La borne: Le soleil! Peuh! Ce flemmard! Toujours à se balader! Un instable, incapable d'avoir un point de vue ferme.

La bouse de vache: Pouf! Et voilà! Là, je viens de réaliser toute ma personnalité!

Le coq: Il ne fait pas encore jour: c'est parce que je n'ai pas encore donné le signal."


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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 08:33


"le seul avenir est notre fin. Ainsi nous ne vivons jamais" (Blaise PAscal)
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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 10:52

Le peuple américain, la victime de ce méga-effondrement bancaire (dont les coupables s'en sortiront très bien, vous inquiétez pas, merci pour eux !), manifeste devant Wall-Street, et qu'est-ce qu'il brandisent ?
C'est tout indiqué.


Credito: Flickr.com / YVKE Mundial

Belle revanche. Et piste à recreuser sérieusement

"La situation du monde contemporain rend la pensée de Marx plus actuelle que jamais. Il ne s’agit pas de dogmatiser une œuvre toujours en mouvement, mais de la confronter constamment à la réalité. "
"un certain Marx qui évoque bien ce stade « impérialiste » où domine le capitalisme financier. C'est le capital lui-même qui est en surproduction."
la crise de 1929 et la situation actuelle, une fois qu'un regarde au fond c'est .... un cours d'économie marxienne !

suite de l'histoire de l'humanité:      ?!?

"On n'est qu'au début" d'une crise qui "vient du coeur du système", Ceux qui nous disent qu'on peut moraliser le capitalisme nous disent n'importe quoi", (Olivier Besancenot)










avec cette crise  "Des gens vont souffrir, mais de la souffrance naît la connaissance. Et de la connaissance naît la révolte" (Jean Ziegler)

Mais "contrairement aux esclaves de l’Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd’hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l’on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur."

 

et en 2010 : ça empire, lisez les caractères conséquences dela maneuvre sur la Grèce comme dit un commentaire sur Yetiblog : "ce n'est pas la chute du système qui se prépare mais la chute de la démocratie et des peuples"

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4 août 2008 1 04 /08 /août /2008 15:56
“Un rouge n’est pas un homme, c’est un rouge; ce n’est pas un être moral intelligent et libre comme vous et moi ; c’est un être déchu et dégénéré. » (Henri Wallon dans une brochure de la campagne électorale de mai 1849)

 

 

"Nombreux sont ceux qui vivent de la misère psychique des autres. Les combattants les plus acharnés des minorités spirituelles se trouvent dans les sphères psy (psychothérapie, psychiatrie, psychanalyse) qui, majoritairement, ne reconnaissent pas à l’être humain une dimension surconsciente. Ce qui fait dire à une psychologue liée à la lutte anti-« secte » : « Un membre d’une secte n’est pas une personne authentique » !

Deux visions antagonistes s’affrontent : la tradition spirituelle et l’idéologie psy, une idéologie athée du psychisme. La spiritualité, quelle qu’elle soit, propose une vision globale de l’être humain qui intègre la dimension divine en l’homme, alors que l’idéologie psy est une approche mécaniste qui dénie toute transcendance. Un véritable fossé culturel sépare ces deux conceptions du monde. FREUD est un des pères fondateurs de cette idéologie, qui réduit le spirituel au psychique au pathologique. Dans sa conception enthousiasmante de l’humanité, la guérison consiste à transformer « la misère hystérique en malheur banal ». Dans son livre L’avenir d’une illusion datant de 1928, FREUD écrit : « la religion serait la névrose obsessionnelle universelle de l’humanité. »

Et, dans ce combat, l’arme de la maladie mentale est terrible. Comme l’explique Stephen Chorover, professeur au Massachusetts Institute of technology : « Quand le concept de maladie mentale est appliqué au comportement, ce même comportement devient invalide. Vous et moi nous pouvons ou non être capables de défendre notre comportement de façon adéquate et efficace. Il est possible de prouver que nous sommes en faute mais au moins nous avons la possibilité de défendre notre comportement. Mais supposer que quelqu’un est fou, c’est lui enlever le droit de défense que nous avons tous en tant que citoyens. Le concept d’invalidité est un instrument terriblement puissant qui peut être utilisé aussi contre les dissidents. Car si un dissident est présenté efficacement comme étant fou, il s’ensuit que lui prêter attention n’a aucun sens. Du point de vue politique, l’invalidation du comportement politique d’un dissident « prouvant » que ce comportement est le fruit d’une maladie mentale est beaucoup plus efficace que la mort de ce dissident. Le tuer en ferait un martyr, le traiter de fou rend suspect tout ce qu’il dit et toute personne désireuse de suivre son exemple. » Les Soviétiques des années-goulag l’avaient bien compris. Et de nos jours, les mouvements anti-« sectes » appliquent ce concept aux individus et aux groupes qu’ils veulent neutraliser."

(source: l'Etat Inquisiteur - 2000)
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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 18:42
Souvenez-vous de Bouchers de Perthes, qui a le premier dit que les silexs taillés qu'il avait trouvé dans le limons de la Somme avaient été taillées par des hommes préhistoriques. On n'a pas voulu le croire. Voyons, des hommes préhistoriques ça n'existe pas!, ça NE PEUT PAS exister, donc ça n'existe pas, donc il ne PEUT PAS y avoir de preuves de leur existence, et puisqu'il ne peut pas y en avoir, si jamais quelqu'un vous en montre c'est (CQFD!) que ce sont des faux, donc Boucher de Perthes est un faussaire. Voilà comme il a été acueilli par la science officielle de son temps! (1)
De nos jours ça ne serait pas mieux! ça serait encore pire! Imaginez, si l'existence des hommes préhistoriques et de leurs haches en pierre taillées n'avaient pas déjà reconnue et engrangée dans le stocks des vérités scientifiques officialisées, et si Bouchers de Perthes se présentait seulement maintenant avec ses silexs; alors là! on dirait qu'il est fou, que c'est un psychopathe, qu'il doit sûrement croire aux soucoupes volantes, que pendant qu'il y est il affirme certainement que ce sont les Extra-terrestres qui ont enseigné aux hommes préhistoriques à tailler les silexs, que c'est de la "pseudo-science", que c'est un paranoïaque, un théoricien de la conspiration, un anti-sémite!! ben quoi! si il affirme l'existence d'hommes préhistoriques il met en cause le récit de la Bible, donc c'est un raciste !  à l'époque l'Eglise l'a accusé d'impiété, aujourd'hui on le stigmatiserait comme "antisémite" on dirait que c'est un adepte d'Hitler qui ne rêve que de mettre les juifs dans des chambes à gaz! (absurde? pas du tout! tous les jours en entend des accusations aussi délirantes envers d'utres personnes), les journalistes télé et ceux de Mariannne 2 se moqueraient de lui et le couvrierait de boue et de ridicule devant le bon peuple, des savants universitaire se poseraient LA grave question: non pas celle d'examiner ses silexs et sa théorie pour voir si ça tient la route, non bien sûr ! quelle question !! on dirait de toute façons que l'existence d'hommes préhistoriques est une question qui ne mérite même pas d'être posée, tellement c'est évident que c'est faux, que un scientifique qui s'aviserait jamais de seulement examiner le problème serait déconsidéré aussitôt auprès de ses pairs, à vie, et pour tout le reste de ses travaux même sans rapport avec le même sujet, paria, déconsidéré! plus rien! non, la question que tous les sérieuses autorités médiatiques se poseraient c'est :comment peut-il se faire qu'existe un phénomène de dérangement mental qui puisse ainsi conduire certains déséquilibrés à croire à l'existence d'hommes préhistoriques, et on débatterait là-dessus.




(1)  c'est une des manifestation de ce que Jean-Pierre Petit appelle avec son humour bien connu : " le principe scientifique bien connu : On crucifie d'abord, on réfléchira ensuite"

 

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16 mai 2008 5 16 /05 /mai /2008 17:44

Voici une histoire qui se déroule dans la Pologne d’avant-guerre, il n’y a pas très longtemps, mais les campagnes étaient encore très en retard techniquement : on y faisait la moisson à la faucille. Même une simple faux était déjà un progrès technique, mais voici ce qui est arrivé à un paysan qui a eu l’idée saugrenue d’utiliser cet instrument ultra-moderne et déroutant : une faux. Que pensez-vous qu’il arrivât ?

 


"Voici les champs, le premier lopin qui appartient à la famille Kozak, un champ étroit, mais long, très long, il va jusqu’à l’ancien tumulus. Mais les Kozak ne moissonnent plus. Ils ne bougent plus, ils se sont redressés et ils me regardent en silence, comme si quelque chose d’effrayant était arrivé. Moi, je plaisante un peu, je leur demande s’ils n’ont jamais vu une faux et je rigole, ah, ah, ah ! Comme si ce que je disais était drôle, mais, merde ! je suis bien le seul à rire. Je leur dis : « Que Dieu vous aide ». Ils me répondent d’une voix très faible qu’on entend à peine : « Que Dieu vous en remercie », juste pour que je passe. Ont-ils peur ? Sont-ils fâchés ? Est-ce à cause de la faux qu’ils sont fâchés ?

Les Dunaj, eux aussi ne me répondent qu’avec peine. Ils n’ont d’yeux que pour la faux. Ils la fixent d’un air bizarre.

La famille Litwin est raide de surprise. « Que Dieu vous aide » dis-je et je demande : « Pourquoi restez-vous figés comme des morts ? » Eux non plus ne répondent rien, pas un mot, ni bon, ni mauvais, même pas « Que Dieu vous remercie ! ».

Gregorz Pioter m’arrête, il me dit tristement :

-          à quoi ça te sert, cette faux ? reviens après-demain, avec une faucille …

-          Sur ce, son père :

-          Après-demain ? Tu vas voir qu’il va travailler demain, dimanche ! S’il n’a pas honte de sa faux, il n’aura pas honte de travailler le dimanche !

-          Et Domin :

-          C’est vrai, si tu peux venir moissonner avec une faux, alors plus rien n’est sacré pour toi !

-          Il va se mettre à manger de la viande le vendredi ! dit Grzegorycha.

-          Devant la croix il gardera sa casquette !

-          Il va décrocher les images saintes !

-          Il va quitter sa femme !

-          Il va se mettre avec une concubine !

-          Il va renoncer à Dieu !

…….

« Ecoutez-, dis-je, je ne suis pas venu pour vous offenser ! Ne suis-je pas d’ici, votre voisin ? Je venais juste pour moissonner, et avec la faux, ça va trois fois plus vite…

-          Plus vite, plus vite il n’arrête pas de répéter ça Et merde, ça ne va pas plus vite ! il ne faut pas le croire, avec la faux, c’est loin d’aller plus vite !

-          Comment « loin d’aller plus vite » ? Regarde le champ de Michal, regarde le mien : qui est allé plus vite ?

-          C’est sûr que ça ne va pas plus vite, se met aussi à crier Grzegorycha.

-          Comment ? , mais les gens ont perdu la tête ! Il n’y a qu'à regarder !

-          Mais comment pouvez-vous dire ça ? Il n’y a qu’à regarder, Moi j’ai fini mon champ, et lui il n’en est qu’à la moitié !

-          Menteur !

…..

Je passe devant et ils me suivent …. Nous arrivons juste à l’endroit où s’arrêtent les chaumes, juste où commence l’étendue de seigle qui reste à moissonner.

-          Alors, qui a fauché le plus ? dis-je.

-          C’est Michal qui a fauché le plus vite, crie papa. Avec la faucille, c’est lui qui va le plus vite. Si tu ne me crois pas, demande aux autres !

-          C’est vrai, répètent les gens calmement, Michal a fauché plus !

Et de plus en plus fort :

-          C’est évident qu’à la faucille on va beaucoup plus vite, la faucille ce n’est pas comme une faux !

-          Et toi, Kazmierz, tu mens comme un homme dans sa nuit !

-          Menteur !

-          Judas !

-          Pharisien !

-          Ecoutez ! par pitié, de quoi parlez-vous ? j’ai fauché jusqu’au tumulus. Il n’y a qu’à venir voir, celui qui ne croit pas !

-          Moi je ne te crois pas !

-          Personne ne te croit ici !

-          Comment croire un Judas ? »

 

( in: "Konopielka")

(Une question, naïve en apparence, se pose alors : qu’ont-ils vu ces paysans qui accusent Kazmierz ? Dans un premier temps la réponse semble aisée. Ils ont vu que Michal avait fauché moins. Mais en même temps, afin de sauvegarder leurs vues sur le monde, il leur fallait voir autre chose. Les réactions des villageois procèdent alors selon le principe reductio ad essentiam.  Ensuite, en jetant à la figure de Kazimierz les termes de Judas et de Pharisien, comme s’il était un sacrilège, ils passent aux arguments ad hominem !)


or, ce genre de réaction n’est pas si exotique que ça : c’est presque une constante de la psychologie humaine, en tous cas ça s’est produit et ça se produit souvent, et dans toutes sortes de milieux, y compris parmi les scientifiques (souvenez-vous par exemple seulement des savants envoyés par le pape qui ont refusé de regarder par la lunette de Galilée) et y-compris de nos jours, il ne faut pas croire qu’on en est exempt. Ca arrive souvent de façon spontanée, et parfois c’est exploité intentionnellement.

Par exemple je suis persuadé que ceux qui ont créé ("Qui a créé le mot "conspirationnisme" ?   c’est bien dans le style des psychologues du PSYOPS COMMAND que j’ai vu de près en action en Bosnie-Herzégovine, et au siège de l’OTAN à Bruxelles."  A dit le Commandant Bunel) le concept de « théories de la conspiration » connaissaient bien ces mécanismes psychologiques et avaient l’intention de s’appuyer dessus pour accréditer et donner de la puissance à cet arme à faire taire ceux qu’ils voulaient faire taire.
Et ça s’est manifesté et ça se manifeste encore dans d’autres domaines

Passez en revue notre époque vous en trouverez certainement des exemples






tiens ! ça aussi : http://claudepiron.free.fr/articlesenfrancais/telephonetabou.htm
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 16:08
où l'on voit que la "protection de la nature" est la protection de l'homme libre, en fait.
Daniel Cérézuelle: « Ecologie et liberté. Bernard Charbonneau, précurseur de l’écologie politique »

Le demi-tour devant la liberté [extrait de livre].

 C’est la méditation sur la dérobade de ses contemporains devant les contradictions de leur époque qui a conduit Charbonneau à penser qu’un des principaux obstacles à la maîtrise collective du changement technoscientifique, c’est le lien intime qui attache l’individu et la société.

« Plus l’esprit moderne prend conscience de l’importance de l’individualité personnelle et du poids immense des déterminations de toutes sortes qui la contredisent, et plus il tend à faire demi-tour devant la contradiction et à justifier ce demi-tour par toutes sortes de raisons. »

« La principale raison pour laquelle il est si difficile de maîtriser le développement scientifique, technique et industriel, c’est que la société n’est pas extérieure à l’homme. C’est le lien intime qui a toujours uni l’individu et la société qui explique qu’aujourd’hui il lui soit si difficile de prendre ses distances à l’égard du développement technoscientifique et de l’ordre social qui l’accompagne.

Certes, au plan objectif, puisque nous vivons désormais dans la société du développement, tout nous pousse à accélérer ce développement en y participant activement. Ainsi on ne peut faire carrière, acquérir un statut social, de l’autorité ou du prestige, bref on ne peut y exercer un pouvoir social qu’en participant d’une manière ou d’une autre à la poursuite de ce développement. Il n’y a là rien de choquant ; cette contrainte est en quelque sorte « naturelle » ; mais ce qui est plus troublant, c’est de constater qu’elle est redoublée par son intériorisation. C’est pourquoi, comme Nietzsche, Charbonneau cherche à déconstruire les modalités de ce bouclage subjectif de l’ordre social et il nous propose une analyse très pénétrante (et dérangeante) de la difficulté des hommes de cette société à reconnaître les contradictions qu’ils vivent. Je ne reprendrai pas ici le détail de cette analyse dont je me bornerai à rappeler les grandes lignes.
Plus l’esprit moderne prend conscience de l’importance de l’individualité personnelle et du poids immense des déterminations de toutes sortes qui la contredisent, et plus il tend à faire demi-tour devant la contradiction et à justifier ce demi-tour par toutes sortes de raisons.  [...] « Pour Charbonneau cet obstacle n’est pas une particularité du monde moderne ; certes nous avons vu qu’il prend des formes spécifiques dans la société du développement, mais on peut le voir aussi à l’œuvre à des degrés divers dans l’esprit de tous les individus, quelles que soient les époques et les sociétés. C’est un invariant anthropologique, une sorte de péché originel social Charbonneau et Ellul avaient forgé cette notion de péché social dès le début des années trente : « L’homme en s’abandonnant ainsi commet le péché social - c’est-à-dire le péché qui consiste à refuser d’être une personne consciente de ses devoirs, de sa vocation, pour accepter les influences de l’extérieur... »
(voir aussi "Un si fragile vernis d'humanité" le livre de Michel Testchenko, ma note) « Le péché social commis, tout autre péché devient impossible, car ce n’est plus un homme qui pèche en pensée ou en acte, mais ce qui n’est plus un homme : un individu, un fragment de l’ordre social établi. Le péché le plus grave accompli, les autres ne peuvent trouver place. » Bernard Charbonneau et Jacques Ellul : Directives pour un manifeste personnaliste. Paragraphes 28 et 29.1935-1936.


Nature et liberté [Extrait de livre].

C’est au nom de la liberté que Charbonneau pose le problème de la nature dans la société industrielle.

« Pour Charbonneau, dans un monde qui tend à devenir totalement organisé, la protection de la nature est une nécessité non seulement pour éviter des désastres écologiques et assurer la sécurité de l’humanité mais aussi pour protéger le besoin humain de liberté ».

« Il faut préciser ici que Charbonneau n’a jamais été l’apôtre d’un retour à la nature et il ne croit pas qu’il y ait pour l’homme une manière « naturelle » de vivre qui définirait une fois pour toutes la bonne vie. Ce n’est pas la nature « en soi » que Charbonneau veut protéger : sa puissance cosmique dépasse infiniment l’homme et les galaxies n’ont nullement besoin de son respect. L’homme peut désormais se détruire biologiquement et spirituellement, mais il ne peut détruire la nature. Si l’homme introduit dans la biosphère des perturbations trop importantes, c’est toujours le jeu imperturbable des lois de la nature qui rendront la terre inhabitable pour l’homme ; la nature, elle, continuera à exister ; elle a pour elle les millions d’années et l’immensité du cosmos pour recommencer. La nature est invincible ; au contraire c’est l’homme, et surtout l’homme capable de liberté, qui est fragile et ce que Charbonneau redoute c’est que l’imprudence et l’inconséquence humaines favorisent une réorganisation de la nature qui, de toutes façons, produira de nouveaux équilibres- mais dans lesquels l’homme libre n’aura peut être plus sa place. Ce n’est pas de protection de la nature qu’il s’agit, mais de celle de l’homme par et contre lui même. » [...] « Pour Charbonneau, dans un monde qui tend à devenir totalement organisé, la protection de la nature est une nécessité non seulement pour éviter des désastres écologiques et assurer la sécurité de l’humanité mais aussi pour protéger le besoin humain de liberté. En effet, être à la fois naturel et spirituel, l’homme a un besoin vital de rencontrer une nature hors de lui, pour y éprouver charnellement sa liberté ainsi que la richesse du monde. A ce besoin le milieu industriel et technicien moderne ne peut répondre que d’une manière très limitée et une artificialisation excessive du monde humain finirait par engendrer la fin de la liberté humaine. »


La dialectique du sytème et du chaos [extrait de livre].

En assimilant le progrès à celui de la technique et de l’économie, la société du développement se délivre, certes, de la fatalité naturelle, mais elle crée en même temps une sur-nature sociale qui n’est souvent qu’une nouvelle fatalité qui risque soit de broyer l’individu dans des contradictions sociales ou écologiques, soit de l’absorber totalement et de liquider sa liberté au nom des nécessités de l’organisation collective.

« Ainsi une organisation sociale fondée sur l’idée d’un développement indéfini nous expose à deux risques qui sont dialectiquement liés et que Charbonneau résumait par deux principes : Un développement indéfini dans un espace-temps fini est impossible. Le développement accéléré conduit donc au chaos. Plus la puissance grandit, plus l’ordre doit être strict : Le développement accéléré appelle une organisation totale,  si ce n’est totalitaire, de la vie sociale, collective et personnelle. Ces deux logiques apparemment contraires sont, en pratique, unies dans une relation dialectique. Chaque progrès d’un des deux termes appelle un renforcement de l’autre. Ainsi la puissance de nos installations techniques (avions, usines, centrales nucléaires, trains à grande vitesse, laboratoires de génétique, etc.) les rend potentiellement très dangereuses en cas d’accident ou de sabotage : une politique de prévention des risques doit donc multiplier les contrôles et repérer à l’avance tous les agents potentiellement inadaptés ou déviants. Mais ce processus qui renforce le caractère systématique de l’organisation sociale crée des conditions favorables pour un nouveau bond en avant de la recherche et du développement de nouvelles techniques. On crée ainsi des risques de nouvelles dysfonctions, encore plus graves que les précédentes car résultant de la mise en œuvre de savoirs plus puissants, certes, mais toujours aussi incomplets et qui auront des effets directs et surtout indirects encore plus importants et imprévisibles. Pour éviter le désastre on repart alors pour un tour : mise au point de nouvelles régulations écologiques et sociales et, une fois la crise surmontée, production de nouveaux savoirs et mise en œuvre de nouvelles techniques, etc. »


Vers la totalisation sociale [extrait de texte].

Charbonneau a grandi à l’ombre de la première grande guerre industrialisée de 1914-1918. Très tôt il acquiert la conviction que cette guerre ouvre le règne de la soumission complète de toute réalité à la logique technicienne et industrielle, ce qu’il appelle la Grande Mue de l’humanité.

« Le mouvement même de la modernisation expose donc l’humanité toute entière à un risque d’une nature nouvelle : pour échapper à sa soumission originaire à la nature, les exigences du progrès conduisent l’homme à se soumettre à une "seconde nature" qui serait sociale cette fois-ci, et tout aussi inhumaine que la première. La déshumanisation par l’organisation totale, "l’inconcevable fin d’un monde parfaitement clos dans ses frontières" : tel est l’enjeu de la rapide montée en puissance de la technique et de la science. »

« De cette Grande Mue, Charbonneau souligne deux aspects, rendus clairement perceptibles par la première guerre mondiale. Elle se caractérise en premier lieu par une accélération de la montée en puissance du pouvoir humain dans tous les domaines, ce qui entraîne un bouleversement continuel de la nature et de la société, bouleversement qui échappe au contrôle de la pensée et finit par s’emballer comme un glissement de terrain qui dévale sa pente par simple inertie. Elle se caractérise aussi par une tendance à la totalisation. L’exemple de la première guerre mondiale nous montre que la course aveugle à la puissance exige la saisie de toute la population, de toutes les ressources industrielles, agricoles et forestières, de la totalité de l’espace aussi bien que de la vie intérieure des peuples, à qui on demande non seulement de participer par leurs actes, mais aussi de consentir intérieurement au conflit et même de justifier la logique anonyme qui va les détruire. On le voit : la notion de "révolution industrielle" offre un cadre conceptuel bien trop étroit pour penser ces transformations sociales et leurs enjeux. Charbonneau a donc très tôt la conviction que le caractère le plus inquiétant de cette Grande Mue dont il est le témoin c’est qu’elle est animée par un mouvement de totalisation, auquel elle tend d’elle-même, par la force des choses, c’est-à-dire selon une nécessité qui se déploie de manière impersonnelle et indifférente aux projets humains. La première guerre mondiale puis la montée des totalitarismes ne sont que les préfigurations partielles du danger qui menace désormais l’homme, à savoir l’émergence et la mise en place d’une organisation sociale totale qui, échappant à toute conscience personnelle, serait l’équivalent d’un suicide spirituel de l’humanité. En effet, Charbonneau redoute que tout autant que la compétition pour la puissance politique, la recherche de la puissance technique et économique finisse par contraindre les hommes à se soumettre à une organisation totale qui seule pourrait (peut-être) les sauver du chaos social et écologique, mais au prix de leur liberté : « Parce que notre puissance s’élève à l’échelle de la terre nous devons régir un monde, jusqu’au plus lointain de son étendue et au plus profond de sa complexité. Mais alors l’homme doit imposer à l’homme toute la rigueur de l’ordre que le Créateur s’est imposé à lui-même. Et le réseau des lois doit recouvrir jusqu’au moindre pouce de la surface du globe. En substituant dans cette recréation l’inhumanité d’une police totalitaire à celle d’une nature totale. » Le mouvement même de la modernisation expose donc l’humanité toute entière à un risque d’une nature nouvelle : pour échapper à sa soumission originaire à la nature, les exigences du progrès conduisent l’homme à se soumettre à une "seconde nature" qui serait sociale cette fois-ci, et tout aussi inhumaine que la première. La déshumanisation par l’organisation totale, "l’inconcevable fin d’un monde parfaitement clos dans ses frontières" : tel est l’enjeu de la rapide montée en puissance de la technique et de la science. »


Une approche existentielle du progrès social [extrait de texte].

C’est l’expérience de la dépersonnalisation de l’existence qui a mis en mouvement la pensée de Charbonneau.

« En effet Charbonneau cherche toujours à montrer que le renforcement de la contrainte sociale et l’appauvrissement de l’existence qui résultent de l’hypertrophie des structures ont également une cause subjective, à savoir le renoncement des individus à l’exercice personnel de la liberté ».

« C’est l’expérience de la dépersonnalisation de l’existence qui a mis en mouvement la pensée de Charbonneau. Comme tout intellectuel il avait le goût de la lecture et de la réflexion, mais il s’est toujours beaucoup méfié de l’abstraction et chez lui le tempérament spéculatif n’est pas le trait dominant car il ne veut pas séparer la vie de l’esprit de celle des sens. Ainsi Charbonneau est quelqu’un qui aime passionnément la vie pour tous les plaisirs sensibles qu’elle apporte. Mais comme il est aussi doté d’une conscience de soi très aigue, il accorde une grande attention à ce qu’il aime et à la nature de ce qui lui donne du plaisir. Par contre- coup il porte, ce qui est beaucoup plus rare, une extrême attention à tout ce qu’il n’aime pas, en particulier dans la vie quotidienne ; qu’il s’agisse de la qualité des rapports humains, du goût des nourritures, de la richesse et de la variété des paysages urbains et ruraux, il ressent tout ce qui en diminue la saveur comme un grave appauvrissement de la vie. Charbonneau aurait pu en rester là, et se borner à chanter, comme le font d’innombrables hommes sensibles et conscients, sa souffrance et sa nostalgie d’un monde non - industriel. Or il n’en reste pas là parce qu’il se rend compte que cette dépersonnalisation est un fait social. Ainsi, dans un article de 1939, il affirme que « la société actuelle, par ses principes et son fonctionnement ne peut avoir qu’un résultat : la dépersonnalisation de ses membres. » (« réformisme et révolution » Esprit n° 77 ; 1939) . [...] On a eu beau lui dire dans les années trente qu’il n’était qu’un pessimiste, qu’il n’y avait pas de problème de la nature et qu’il y aurait toujours une campagne, les faits lui ont donné raison, et cela dans bien des domaines. On ne peut pas attribuer cela seulement au flair et à une sensibilité extrêmes. On doit plutôt en conclure que sa méthode d’investigation de la réalité sociale est pertinente. Or celle-ci est très déconcertante puisque sa critique des structures (aspect objectif) est toujours aussi une critique du sujet (aspect subjectif). Là où les sciences sociales ne s’intéressent qu’aux causes objectives et aux mécanismes formels, il attire notre attention sur les causes subjectives et les mécanismes informels des processus que nous subissons. En cela il est fidèle aux expériences qu’il a faites dans sa jeunesse : la force des logiques sociales impersonnelles se nourrit de notre consentement tacite, voire de notre participation active.

En effet Charbonneau cherche toujours à montrer que le renforcement de la contrainte sociale et l’appauvrissement de l’existence qui résultent de l’hypertrophie des structures ont également une cause subjective, à savoir le renoncement des individus à l’exercice personnel de la liberté. Les deux aspects, objectif et subjectif, sont donc inséparables et les déterminations objectives ne peuvent se déployer que parce qu’elles se nourrissent du consentement, voire de la participation des sujets. »


 


Contrat Creative Commons

autres auteurs à consulter: Zygmunt Bauman, Aldous Huxley, Théodore Kaczynski, Jean Domec

 

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 16:21

« Règles pour le parc humain » est un opuscule devenu célèbre de Peter Sloterdijk, en voici selon moi les phrases qui méritent le plus d’être retenues. (les ajouts en vert ce sont mes commentaires, vous l'aurez compris, les soulignages sont de moi également)


 

« Les livres, observa un jour le poète Jean Paul, sont de longues lettres adressées à des amis ». On ne saurait définir avec plus d'élégance la caractéristique et la fonction de l'humanisme : il est, dans sa quintessence, une télécommunication, une façon de créer des amitiés à distance par l'intermédiaire de l'écriture.

Sans la codification sur des rouleaux de papier transportables, jamais ces courriers que nous appelons la tradition n'auraient pu être envoyés.

(l’auteur) … est conscient du fait que son envoi peut aller au-delà, et provoquer un nombre indéfini d'occasions de se lier d'amitié avec des lecteurs anonymes - voire encore à naître. Du point de vue érotologique, cette amitié hypothétique entre ceux qui rédigent des livres ou des lettres et ceux qui les reçoivent représente un cas d'amour à distance

l'écriture a le pouvoir de transformer l'amour du prochain - et du proche - en amour pour une vie inconnue, lointaine et future.

On pourrait ainsi ramener le fantasme communautaire qui sous-tend tous les humanismes au modèle de la société littéraire, dont les membres découvrent, par la lecture de textes canoniques, leur amour pour des inspirateurs communs.

Dès lors, les peuples se sont organisés en groupes entièrement alphabétisés, de force si besoin était. Chaque nation s'ancrant sur les lectures de référence de sa propre culture. C'est pourquoi, outre les auteurs antiques appartenant au patrimoine commun des Européens, on mobilise les classiques nationaux dont les lettres au public - qui prennent une place démesurée grâce au marché du livre et de l'éducation secondaire - deviennent un puissant ferment pour la création des États. Que sont les nations modernes sinon d'efficaces fictions nées d'une opinion lettrée rassemblée grâce à la lecture des mêmes auteurs ?

En conséquence, les nations bourgeoises allaient devenir, jusqu'à un certain point, des produits littéraires et postaux - fictions d'une amitié inéluctable entre compatriotes, même éloignés, et entre lecteurs enthousiastes des mêmes auteurs.

cf la célèbre pensée de Monteiro Lobato : "Lando fariĝas el homoj kaj libroj."
Et, à ce sujet, je considère, contrairement à une déplorable tendance actuelle dans l’Educ Nat, que l’étude des « classiques » , l’étude et la possession de classiques communs, est très important, vital pour une société, pour la culture, pour des humains. Et contrairement au discours actuel (voir les réflexions là-dessus de Vivianne Forrester dans « L’horreur économique ») sur les fameuses « compétences » qui seraient seules importantes et utiles à apprendre aux élèves, et surtout pas l’inutile culture générale, au contraire maintenant que le sorti de collège a beaucoup plus de risques qu’autrefois de se retrouver chômeur, voire clochard, l’importance d’une culture générale, non bassement utilitaire, est d’autant plus important ! pour li permettre de malgré tout se structurer, d’avoir de quoi se raccrocher, le faire vivre, le nourrir, qu’il n’ait pas que son vide et son impuissance devant lui mais d’autres centres d’intérêt, contact avec le monde, qui lui laisse quand-même une personnalité et des raisons de vivre

L'histoire monstrueuse de la cohabitation entre l'homme et les animaux domestiques n'a pas encore été présentée d'une manière adéquate

Là je ne sais pas si ce qu’il entend c’est (et si c’est ça je serais tout à fait d’accord) ceci par exemple :http://miiraslimake.over-blog.com/archive-09-21-2006.html et:http://www.vegetarisme.fr/Articles/index.php?p=TemoigEtuAba.html

Le sujet de la domestication de l'homme est le grand impensé dont l'humanisme, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, n'a jamais tenu compte. Jusqu'à ce que cela devienne intenable et que nous soyons submergés par cette évidence : ce n'est pas avec des lettres que nous aurions pu ou pourrions arriver à apprivoiser et éduquer l'homme. À l'évidence, la lecture a été le grand pouvoir éducateur des hommes - et dans une mesure plus modeste, elle l'est toujours. La sélection en revanche - peu importe la manière dont elle s'est développée - a toujours été un pouvoir occulte. « Leçon » et « sélection » ont plus en commun que ne saurait l'admettre n'importe quel sociologue

Eh oui ! …par exemple la société du XIXème siècle : la lecture prône le travail et l’épargne, la société sélectionne, ceux qui se conduisent ainsi (et d’abord ceux qui en ont les moyens !), les autres crêvent : vagabonds, de faim ou de mauvais traitements dans les hospices,, sélection aussi chez les riches : les imprévoyants et prodigues se ruinent et meurent aussi (suicide, etc). idem dans la société « timocratique » (en termes platoniciens) qui promeut dans ses lettres courage sens de l’ « honneur », « noblesse » et donc l’éducation (et les biens !) qui les rendent possibles ! et sélectionne ceux qui ont ces qualités et l’expertise des armes, les autres meurent dans l’enfance ou au début de la vie collective par les brimades, tués à la guerre ou forcés par le « déshonneur » à quitter la société et par suite à mourir misérablement.

Jusqu'à la généralisation de l'alphabétisation, la culture lettrée a exercé une influence très sélective sur les sociétés. Elle créait entre lettrés et illettrés un fossé si infranchissable qu'il en faisait presque des espèces différentes.

les hommes sont des animaux parmi lesquels certains sont éleveurs et les autres élevés

C'est la signature de notre époque technologique et anthropo-technologique : de plus en plus de gens se retrouvent du côté actif et subjectif de la sélection, sans avoir volontairement choisi le rôle de sélecteur. On ne peut que le constater : il y a un malaise dans ce pouvoir de choix

D'où l'obsession totalitaire de l'hygiénisme et des normes

Dans un processus de civilisation qui doit affronter une vague de désinhibition sans précédent,

Là pas d’accord, il se trompe, les gens au contraire n’ont jamais été aussi inhibés qu’actuellement !

 

Le propre de l'humanitas est que les hommes se trouvent exposés à des problèmes trop compliqués pour eux sans qu'ils puissent pour autant décider de ne pas y toucher.

Le véritable éleveur, lui, miserait sur la distance et ferait discrètement comprendre que son action consciente le rapproche davantage des Dieux que des créatures confuses placées sous sa protection.

comme les prostituées sous la protection des proxénètes ou les clients sous celle des vigiles privés !…

L'intuition dangereuse de Platon pour les sujets dangereux rencontre le point aveugle de tous les systèmes politiques et pédagogiques civilisés : l'inégalité des hommes face au savoir qui donne le pouvoir.

Il ne s'agit plus seulement de diriger en les apprivoisant des troupeaux déjà dociles, mais d'élever systématiquement des exemplaires humains plus proches de leur état idéal.

Ça s’est toujours fait.
Mais à une époque où on ne pouvait pas empêcher les êtres d’être libres, et pour la majeure partie incontrôlables. C’est ce qui avait créé un équilibre humaniste …

Le lecteur moderne qui tourne son regard tout à fois vers l'éducation humaniste de l'époque bourgeoise, vers l'eugénisme fasciste, et vers l'avenir biotechnologique, reconnaît inévitablement le caractère explosif de ces réflexions.

 

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2CCR

ALAIN BENAJAM
un paysan de l'Allier

http://www.petitions24.net/forum/47277
 Quand on vit dans l'Europe actuelle,on comprend le dégoût et la haine que les gens d'Europe de l'Est avaient pris pour la langue russe
une effarante chape de plomb médiatique pèse sur le basculement linguistique en cours
    defenselanguefrancaise.org Aujourd'hui il y a sur les murs de Paris plus de mots anglais qu'il n'y avait de mots allemands pendant l'Occupation (Michel Serres) Seuls les banquiers peuvent voler le peuple en plein jour sans avoir la police aux trousses...Jovanovic : il faut NATIONALISER LES BANQUES sans aucune indemnité, et mettre au point un tribunal pour les traduire en justice

le NWO alias le N.O.M. = Nouvel Ordre Mafieux

M'ame MEDEF et la  police

Pièces et main d'oeuvre
Olivier Demelenaere

ANONYMOUS
CHISTOPHER BOLLYN 
 INFOSYRIE
TOUCHE PAS à MON LABO !
La misère a un sourire tu sais?  oui je sais
...
SaveFrom.net  
Réseau Voltaire France

Mon site en Espéranto
BASTAMAG

Il faudra bien tenter de trouver des réponses, même si celles-ci peuvent s’avérer explosives 

une vraie civilisation : CAHIERS DE COUTURE

le dissident de Genève

MANIPULATION TOTALITAIRE DIGNE DE L'URSS   Les millliards perdus du Pentagone

Le soupçon d'ue manipulation d'Etat

donner la parole au peuple

ESPERANTO

Le plus grand dictionnaire  espéranto-français en ligne !

FUMER TUE ! CRAC BOUM HUE !

pour écouter ci-dessous cliquer dans le rectangle noir !

tiens des femmes portant un "voile islamique"

dictionnaires multilingues, exemple

Tous ses nouveaux articles sont du plus haut interêt

ambiance de merde, société détraquée et psychosée, rumeur meurtrière, flicaille 1 mort innocent tué par la bétise des gens 

"Tout pouvoir corromp, tout pouvoir absolu corromp absolument" il n'y a pas de pire poison de PIRE en PIRE

 Les pilotes français des avions qui ont fait ça vont-ils être poursuivis par leur conscience pour le restant de leur vie  ? 

Kadhafi (القذافي) dans l'intimité

LABOURSTART

Les-diables-sont-déchainés

Earth Liberation Front

Front de Libération des Animaux

Phil Glass NIGHT TRAIN SaveFrom.net

Mendelssohn Menuhin Furwangler SaveFrom.net

BRAVE NEW WORLD

on réédite les erreurs des années 20 
Forces international

IMMONDE FRANCE transformée en cauchemar !créez des fonctionnaires
Saddam face à l'histoire  

le racisme est en dernière analyse un racisme anti-pauvres reflechissez ... à quand une assoc anti-raciste pour défendre ceux-ci ? ça risque pas: les assoc anti-racistes sont composées de riches et de bourgeois !  L'Occident va crever de ne plus se toucher 

DES GENS 15è arrond. Quand Paris était encore une ville du peuple
défendons la langue française
et les autres domo dico 

 

 

La vraie vie  reconnaitre les papillons  découvrir le monde des insectes: FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres 

tous les oiseaux leur chant etc

France actuelle: HORREUR ABSOLUE à quoi on nous prépare 

17 mesures d'URGENCE
le monde dont nous voulons le contraire de celui qu'on nous impose  tout ça va bientôt être INTERDIT par les arrêtés municipaux fascistes détraqués

http://dont-stop-the-chicha.skyrock.com/

"il va falloir reconnencer à sculpter les facades des maisons, à vivre dans le beau, pourquoi toujours la merde et la sous-merde ?!"

ne pas laisser tomber avant d’avoir commencé, nos enfants ont besoin de nous

dépéchez-vous avant que les règlements municipaux n'interdisent de mettre des plantes odoriférantes dans son jardin: semences BIO de fleurs et de légumes rares 

Joseph Moshe? on a retrouvé Joseph Moshe ! mais comment se fait-il qu'aucune date de liberation n'est indiquée, ni de jugement? et comment se fait-il qu'aucun journaliste n'a pris la peine d'aller le visiter pour en avoir le coeur net sur ce qu'il est?

Diana

Il y a eu 2 génocides, sauf que le deuxième n'a bénéficié d'aucune commémoration

http://www.parasciences.net/

CABANES DANS LES ARBRES

TOUTES LES GALAXIES !

KURT SONNENFELD

Bruxelles 11 septembre 2008

vidéo à regarder jusqu'au bout, c'est là que se trouve le plus important !!

petit à petit ça se sait LA NATURE DU CAPITALISME et la psychologie de ses "kapos"

Chute libre dans la barbarie tout citoyen français vit maintenant dans une insécurité de tout instant, à chaque moment un cauchemar ignoble peut s'abattre sur lui quand on vous disait de pire en pire contre ces horreurs, ce cancer qui ronge la FRANCE lapétition 

pour le receuil de témoignages

la France montrée du doigt par Amnesty International pour les excès de la police et  l’impunité dont jouissent leur auteurs (la Chine nous donne une leçon !)  faute de structure d’enquête indépendante et avec une justice plus prompte à classer les affaires qu’à les juger. et voilà un qui lâche le morceau et explique beaucoup de choses - un témoignage de l'intérieur! - plein d'exemples de cette mentalité Tout ça vient de leur impunité
 http://outre-vie.forum
poésie et astronomie

poésie de Francis Jammes
* discours anti-secte comme support de l’idéologie néolibérale *
apparitions en Egypte

 Daninos disait: "L'esprit, comme le parachute, doit être ouvert pour fonctionner."
* les OVNIs en Argentine 



la lettre de la vieille dame :

les Bistrots Résistants

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre "les Bistrots Résistants" en bleu sous le cadre, qui sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée

 

Ne plus respecter les lois liberticides
 
Zygmunt Bauman
"On a beau parler des droits de l'homme, il faut d'abord respecter l'individu et sa liberté. Sinon, c'est du vent, un beau discours qui ne sert à rien à nous les vivants." (Gao Xingjian)

PAUVRE ARGENTINE!

SANS DROITS SANS VOIX

féroce inégalité des sexes ! quand cela cessera-t-il ?
l'affaire Fortin
halte à l'inhumanité du racisme anti-homme !

papillons  - en 2008  carabus coriaceus ?
oiseaux  dictionnaire HINDI

c'est délicieux  !

cuisine de Rosine
cuisine syrienne
v Merveilleux tableaux

vun miracle nommé Bubulle
une analyse sociologique lumineuse des dérives actuelles :

le critère? être minoritaire !!

"nos impôts utilisés à payer des hystériques qui traitent de secte tous ceux qui ne se soignent pas ou ne pensent pas comme tout le monde."dry.gif

la-delation-aveugle/

"L'enfer est pavé de bonnes intentions" v


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texte libre 4 en haut à droite

texte libre n° 2 à droite au milieu

ECOUTER en LISANT: (Phil Glass)

années 50 époque moins constipée que maintenant qu'est-ce qu'on vous regrette !
Je suis un sentimental - Eddie Constantine SaveFrom.net

NOUVEAU:  ICI LES CHANTS DE TOUTES LES ESPECES D'OISEAUX DU MONDE ENTIER  

Voyages en ASIE

 

FLORE EN LIGNE !

identification des plantes

identification des fleurs composées (à capitule)

herbier très détaillé des espèces les plus courantes

 

IMMONDE ! on se croirait en URSS !

alors la frontière n'existe plus: http://www.maitrepo.com/a

Haïkus

jouer au TAROT : télécharger

rue Affre  

  Fabuleux ROSSINI SaveFrom.net
v Abdelhalim Hafez

v "ah  mais ça ne finira jamais"
v Je veux dire au monde une histoire
*pour découvrir le monde des insectes, FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres
c'est vrai, en France aussi on ne voit presque plus jamais de mouches! comment ça se fait?

tous les oiseaux, chants, etc

situation  terrifiante

v NOTRE PLANETE INFO

Que reste-t-il de la démocratie?
Une vraie société c'est ça

une évolution politique véritablement glaçante  

le vin le meilleur aliment anti-vieillissement:

¿Seremo entregados a los barbaros fieros?
¿Tantos milliones de hombres hablaremos inglés?
¿No hay mas nobles hidalgos ni bravos caballeros ?
¿Callaremos ahora para llorar despues? (Ruben Dario)

patriotisme pas mort vive la Russie !



Tites boules émotives pour vos commentaires
                                     
 
                

PLIAJ MIENETOJ

d'autres ici

nous ne sommes qu'une poignée à percevoir la gravité du phénomène et ses menaces sur les libertés individuelles.pureté et santé ces notions ont été un cocktail explosif chaque fois que l'Etat s'est focalisé névrotiquement dessus n'est-ce pas ?le tabac comme "rideau de fumée" 

le si beau et si expressif visage de barbara !  on aurait envie de le couvrir de baisers  "Quand reviendras-tu ?"

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre " Quand reviendras-tu?" en bleu au-dessus du cadre,ili sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée



http://www.lipsheim.org/forum/agora/
*
éthique des bistrots versus milices 

1/ Ne plus être muet : faire circuler ces informations autour de soi.
2/ Ne plus financer la mondialisation : consommer uniquement local, régional, artisanal.
3/ Ne plus respecter les lois liberticides : désobéir.
4/ Ne plus consommer la propagande : jeter sa télévision et sa radio.
5/ Ne plus être invisible : parler, faire du situationisme, occuper la rue.
6/ Ne plus être un esclave : devenir paysan, artisan, commerçant, indépendant.
7/ Ne plus être dépendant : devenir autonome (énergie, alimentation, santé, culture).
8/ Ne plus être un robot : rire, danser, chanter, dessiner, fumer, boire, partager, découvrir, etc.

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