"ils ne se cachent même plus/ Crachent sur les tombes des personnes qu'ils tuent"

(MC Solaar)

je regrette mais avec en plus l'inscription du vote par correspondance, (pour trafiquer le résultat de la présidentielle) il faudra passer par l'insurrection armée pour regagner la Civilisation, la démocratie, et la dignité humaine en France

mais maintenant il n'y a plus de"Monde Libre à l'extérieur ! Quel pays lui décernera le Prix Nobel ou lancera des pétitions et des pressions diplomatiques pour obtenir sa libération ?

"This world is a prison"

alors comme ça il parait que de soutenir la lutte nationale des palestiniens c'est "soutenir le terrorisme". donc être      gaulliste   c'est    être   terroriste !

puisque De Ggaulle et beaucoup de ses futurs ministres  furent à la trête        de  la Résistance à l'occupant, et ont commis des attentats, dontt  scertains peuvent être qualifiés de terroriste. Et les occupants naziss, et le gouvernement de vendus à vichy les appelait ainsi.

Bon,il est en bonne compagnie !🙂😎

(en fait la vri raisonde  la persecution  qu'il subit,  c'est qu'il critique Neom ! )

Et ce peuple de collabos va accepter !

les journalistes pas chômeurs (....), qui ont visiblement bien peur de se faire licencier par leur milliardaire de patron, répètent le mot « extrème-droite » à chaque phrase, obsessionnellement, comme un chrétien qui a peur du diable et du péché, et qui multiplie les signes de la croix à chaque phrase !!

La police berlinoise a interrompu samedi 29 août la manifestation d’opposants au port du masque et aux mesures de restrictions contre la pandémie de Covid-19, faute de respect des gestes barrière par les quelque 18 000 participants.

« La distanciation minimum n’est pas respectée (…) malgré les demandes répétées » des forces de l’ordre (Ordnung!), a déclaré la police, « c’est pourquoi il n’y a pas d’autre possibilité que de dissoudre le rassemblement ». A peine entamée, la marche partie vers 11 heures de l’emblématique porte de Brandebourg avait dû faire halte sur l’injonction de la police (qui elle est incontestablement une institution de DROITE! aux valeurs répressives.)

Après l’annonce de la dispersion en début d’après-midi, les manifestants, dont beaucoup étaient assis sur la route, sont restés sur place et ont crié « résistance ! », puis « nous sommes le peuple ! » – un slogan employé par l’extrême droite - mensonge éhonté, c’est le slogan qu’utilisaient les communistes contestataires qui manifestaient à Leipzig contre le Gouvernement de la RDA, non pas pour le faire cesser d’être communiste mais pour qu’il devienne (ce qu’ils n’ont pas obtenus ! c’est le moins qu’on puisse dire) un régime communiste « à visage humain » –.

Lire aussi : à Berlin, des manifestants s’opposent aux mesures de restriction contre le coronavirus

Intitulé « fête de la liberté et de la paix », l’événement, qui rassemble « libres penseurs », militants antivaccin, « conspirationnistes » (c’est à dire tout simplement ayant de l’esprit critique et pratiquand la méthode de base de tout inspecteur de police dont la première question au début de toute enquête doit être : « à qui profite le crime ») ou encore sympathisants d’extrême droite (vous les avez interviewés pour dire ça ? Et celle qui brandissait un drapeau de la RDA c’était un sympathisant d’extrème-droite ?!!!) , constituait le second du genre en un mois et inquiète les autorités (de droite, elles incontestablement ! d’ailleurs Merkel l’est!).

La foule y est très mélangée, de toutes classes d’âge, y compris des familles avec de très jeunes enfants en bas âge. Les drapeaux de la paix arc-en-ciel et de l’Allemagne se côtoient, les manifestants ont aussi à plusieurs reprises crié « Merkel doit partir ! », le mot d’ordre du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (ce qui prouve quoi ? Rien du tout, ce « raisonnement » par assimilation est d’une totale malhonnêteté!!!! je pense que l’extrème-gauche allemande elle aussi veut que Merkel (chancelière du parti de DROITE CONSERVATRICE CDU) parte !)

« Je ne suis pas un sympathisant d’extrême droite, je suis ici pour défendre nos libertés fondamentales », tient à préciser Stefan, Berlinois de 43 ans, crâne rasé, portant un tee-shirt gris avec écrit en majuscules blanches : « Penser, ça aide ! ». « On est là pour dire : il faut faire attention ! Crise du coronavirus ou non, il faut défendre nos libertés », réagit Christina Holz, une étudiante de 22 ans, qui porte un tee-shirt réclamant la libération de Julian Assange, fondateur de WikiLeaks détenu au Royaume-Uni.

« Le corona est-il une épidémie ou une grippe ? » Jakob, 25 ans, répond sans hésiter : « La grippe fait chaque année des dizaines de milliers de morts… https://t.co/iJYFWxAiNI

Sur un vieux drapeau qu’elle a gardé de la RDA, Bettina a ajouté „2.0.“ : « On vit dans un la peur, les gens dénonc… https://t.co/fXmyeOentX

Contre-manifestations

La municipalité de la capitale allemande avait d’abord interdit mercredi la manifestation pour « raison de santé publique » : l’impossibilité à ses yeux de faire respecter les distances d’au moins 1,50 mètre entre manifestants. Mais le tribunal administratif, saisi en référé par les organisateurs, leur a finalement donné raison vendredi.

L’initiateur de la manifestation, Michael Ballweg, un entrepreneur en informatique sans étiquette politique à la tête du mouvement Penseurs non-conformistes-711 apparu à Stuttgart, a décrit la tentative d’interdiction comme une « attaque contre la Constitution » allemande défendant le droit d’expression.

Ses partisans s’insurgent contre la « dictature » des mesures autour du nouveau coronavirus ressenties comme une entrave à leur liberté. Ils exigent la chute du gouvernement d’Angela Merkel et de nouvelles élections en octobre 2020, soit un an avant la date prévue. Plusieurs figures d’extrême droite avaient appelé à rejoindre la manifestation et s’étaient félicitées qu’elle puisse se tenir. Un député de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), Leif-Erik Holm, avait parlé sur Twitter d’une « victoire pour la liberté ».

Ses organisateurs devaient veiller à ce qu’une distance minimale soit bien respectée entre manifestants. Le port du masque n’était en revanche pas obligatoire. Vendredi soir, quelque 1 500 manifestants se sont déjà réunis pacifiquement devant la porte de Brandebourg.

Plusieurs organisations de « gauche » ont quant à elles appelé à des contre-manifestations. Samedi, « il sera important que nous montrions qu’il ne peut y avoir de tolérance (c’est pas tellement une valeur de gauche ça!) pour les racistes, les antisémites, les extrémistes de droite et les nazis », (le gag ! quel rapport ave le masque ???? aucun ! a asséné Anne Helm, dirigeante de la section berlinoise du parti de « gauche » radicale Die Linke (die linke n’a rien de radical, lisez leur programme, c’est à peine social-démocrate, centre-gauche,il y a zéro socialisme). Qui se positionne donc du côté de l’ordre (Ordnung) de la Police, de Merkel (chancelière de droite, « grande coalition ? » des partisans de l’ordre?)

Contexte de fronde

Une précédente manifestation du même type avait déjà réuni le 1^er août quelque 20 000 personnes appartenant majoritairement à la sphère d’extrême droite. Elle avait été interrompue par la police car les manifestants n’avaient pas respecté les gestes barrières.

Ce rassemblement intervient dans un contexte de grogne croissante dans l’opinion allemande à l’égard des restrictions liées à la pandémie. Et ce, même si l’Allemagne a plutôt mieux résisté que ses voisins, et que les restrictions pour lutter contre le nouveau coronavirus n’ont jamais été aussi strictes qu’en France ou en Italie par exemple.

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Comme de nombreux pays européens, l’Allemagne est également confrontée ces dernières semaines à une reprise de la pandémie, avec en moyenne quelque 1 500 nouveaux cas déclarés chaque jour. Samedi, l’institut de veille sanitaire RKI a fait état de 1 479 nouvelles infections en vingt-quatre heures.

La chancelière (de droite) Angela Merkel a déclaré vendredi s’attendre à une évolution de la pandémie « encore plus difficile » dans les prochains mois. Cette dégradation ces derniers jours, en partie imputée aux retours de vacances, a poussé les autorités à prendre de nouvelles mesures de restriction comme la limitation des rassemblements privés (comme sous Hitler ?) ou la mise en place d’amendes pour non-port du masque, là où il est obligatoire.

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