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puisque le nouvel over-blog est une vraie merde mon futur blog sera (y aller regarder dès maintenant) : http://miiraslimake.eklablog.com
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  "Sur vojo de l'vivo nun vagas mi sola,
Senzorge al kie la tempo min blovas;
Ĉar, kvankam min celus eĉ vorto konsola,
En aĝ' mia nuna mi vivi ne povas" (Edmond Privat)Presidentielles 2012 sortie de l'euro 
Union populaire republicaine
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Texte Libre 1 en-tête

VIVE LE MRAP ! VIVE LES CATHOLIQUES !

le scandale du siècle Durant 50 ans on a cultivé l'horreur de l'URSS son totalitarisme, sa barbarie cauteleuse, ses flics puants, son intrusion dans la vie privée des gens, on nous a fait peur de ce contre-modèle c'était l'abomination le danger qu'on opposait à nos pays civilisés et libres Et dire qu'on était prêt à faire la guerre pour ne pas tomber dans une telle société maintenant on les imite! en pire ! u-p-r Asselineau le seul qui interdira les RFID LA Banque Centrale Européenne n'est « INDÉPENDANTE » que d'une seule chose : DU SUFFRAGE UNIVERSEL  Arnaques de la GRANDE DISTRIBUTION Turquie état policier barbare pour nos enfants nos familles la société Refus TOTAL directive scélérate Les américains ont PEUR de s'indigner c'est le but recherché Morts etat-d'Anne  LES MOTS argument de mouton fasciste DEFENSE des DATES seuls ceux qui ont connu ça comprennent horreur Mépris des gens atteintes à leur dignité et conditions de vie ce qui viendra après LES LABOS  Marksaj studoj

à BAS l'invasion amerloque ! à bas l'anglicisation obsessionnelle d'OVER-BLOG !!!

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Texte libre 2 en bas à droite

Un seul Etat ce n'est pas l'apocalypse ni la fin du monde

on n'avait plus entendu ce genre de propos depuis la fin de l'URSS et du KGB

avant la purification ethnique 
v"ce qu'il y a de terrible quand on cherche la vérité c'est qu'on la trouve"
v Kawther Salam
ECOUTER en LISANT:

un peu de métaphysique

un chagrin insondable

v Shajarian :

Kazi Nazrul Islam le grand poète bengali


Dum vivas mi :

*Le Temps des Fleurs (et le temps où Dalida vivait)

* Un jour tu verras 

Steve Reich:

 

BRUCH le plus puissant concerto 

Ils disent

 Natacha Atlas :


Savoir, résister, avant qu'il ne soit trop tard

des choses que vous n'avez pas vues à la télé

(que réfléchissent ceux qui se chauffent au fuel: Est-ce que vous retrouvez vos chaudières effondrées après une nuit de fonctionnement?)

v la fatwav les humanistes commencent à prendre peurv Espace Libre

par exemple

les "experts" en qui on met notre confiance sont achetés et mententv

SAVEZ-VOUS QUE MAINTENANT IL Y A UN DICTIONNAIRE chinois- français SUR INTERNET ?

v sud de l'Iran
v les couleurs de l'INDE

v mousselines: "vents tissés" disaient les romains

histoire de l'INDE - 1ère partie

nostalgie d'Alger

l'argentine  est un des plus beaux pays au monde
v à la frontière Sino-Mongolev monts Altaï en Sibérie:  Fabuleux !v la Pologne

on vous donne des idées caricaturales sur les gens,
les trouvez-vous vraiment "constipés" ces iraniens? :
sauf comme tout le monde quand ils sont sur la  tombe de leur mère

v devant une logique comme celle-là le refus doit être total ! v  

Un texte capital à lire "comme boivent les poules: en relevant fréquemment la tête pour faire couler" : Le racisme anti-pauvres

toutes les espèces végétales et animales aves liens images etc
 SEA SHEPHERD

La végétation d'Uruguay

TOUTE l'actualité scientifique

DANIEL faisait partie du "Mouvement du Graal"en mémoire de lui les voici

présentation

 

v ATTRACTEURS ETRANGES v fractales v Morphogénèse

v NOUVEAU ! Un portail sur le monde musulman

carnets de poésie

Comte-Sponville

MES PIEDS SE SONT SEPARES DE TES PIEDS

La nature vampirique du capitalisme actuel qui vit de suçer la vie des êtres et des peuples":
Le capitalisme est devenu le plus grand ennemi de  l'individu
vie cauchemardesque des américains de classe moyenne
v une vision autoritaire et monochrome de la société


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texte libre 3 = vrai accès aux archiv

28 novembre 2015 6 28 /11 /novembre /2015 12:40
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26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 12:25
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25 novembre 2015 3 25 /11 /novembre /2015 14:48

(Zygmunt Bauman, son livre "Modernité et holocauste"")

Le 22 novembre 2015 – Source documentcloud.org

La lettre des pilotes de drones à Obama

À: President Barack Obama
The White House
Washington, D.C.

Secretary Ashton B. Carter
Department of Defense

Director John O. Brennan
Central Intelligence Agency

Chers président Obama, secrétaire Carter et directeur Brennan.

Nous sommes d’anciens membres actifs de l’US Air Force. Nous nous sommes engagés dans l’Air Force pour protéger des vies américaines ainsi que notre Constitution. Nous en sommes arrivés à prendre conscience que les civils innocents que nous avons tués n’ont servi qu’à alimenter les sentiments de haine qui sont à la source du terrorisme et de groupe comme État islamique, tout en servant d’argument principal au recrutement, comme peut l’être le camp de Guantánamo. Cette administration, comme les précédentes, a élaboré un programme de drones qui est une des forces les plus dévastatrices par le terrorisme et la déstabilisation qu’elle provoque à travers le monde.

Quand la culpabilité, due à la perte systématique de vies innocentes provoquée par nos actes, est devenue trop lourde, nous avons tous été atteints de syndromes post-traumatiques. Nous avons été abandonnés par ce gouvernement à qui nous avons pourtant tout donné, renvoyés dans le monde sans soins médicaux appropriés ni aides nécessaires. Quelques-uns parmi nous se retrouvent à la rue. Les autres s’en sortent difficilement.

Nous avons été témoins de gaspillages énormes, d’erreurs de décisions, d’abus de pouvoir et du fait que les dirigeants de notre pays mentent publiquement quant à l’efficacité du programme de drones. Nous ne pouvons plus rester tranquillement assis et être témoins de tragédies comme les attentats de Paris, tout en sachant les effets dévastateurs du programme de drones, à l’extérieur comme à l’intérieur du pays. Un tel silence violerait le serment que nous avons prêté de défendre la constitution.

Nous espérons que vous comprendrez notre point de vue même si, peut être, cette demande est vaine au regard de la persécution incroyable que subissent ceux qui ont dit la vérité avant nous, comme Chelsea Manning, Julian Assange et Edward Snowden. Mais pour l’amour de ce pays, nous espérons qu’il en sera autrement.

Sincèrement,
Brandon Bryant  Sergent Opérateur du MQ­1B Predator Sensor
USAF Joint Special Operations Command
3e escadron des Special Operations

Vétéran handicapé d’Irak et d’Afghanistan
Fondateur du projet RED HAND
Cian Westmoreland Vétéran de l’armée de l’air
RF Transmissions Systems
USAF CENTCOM
73e escadron de l’Expeditionary Air Control

Vétéran handicapé d’Irak et d’Afghanistan
Directeur technologique du projet RED HAND
Stephen Lewis Vétéran de l’armée de l’air Opérateur du MQ­1B Predator Sensor
USAF Joint Special Operations Command
3e escadron des Special Operations 

Vétéran handicapé d’Irak et d’Afghanistan
Michael Haas Vétéran de l’armée de l’air
Instructeur pour le MQ­1B Predator Sensor
USAF Air Combat Command
15e escadron de Reconnaissance

Vétéran d’Irak et d’Afghanistan

Le 20 novembre 2015 – Source democracynow.org

Interview de deux des pilotes de drones

Dans une lettre ouverte sans précédent au président Obama, quatre membres de l’armée de l’air américaine qui ont participé à la guerre des drones disent que les assassinats ciblés et les bombardements contrôlés à distance alimentent ce même terrorisme que le gouvernement dit vouloir éradiquer. Deux des signataires de cette lettre, Stephen Lewis et Cian Westmoreland, nous disent pourquoi ils ne nous racontent que maintenant ce qu’ils ont fait. «Tout le monde dans l’armée de l’air sait qu’un bombardement entraine des dommages collatéraux, la plupart du temps», nous dit Westmoreland. «Et je dis que cela ne touche pas que des ennemis mais aussi des civils.»

Transcription

JUAN GONZÁLEZ : Stephen Lewis, je voulais vous demander – vous avez tué quelqu’un et puis vous avez immédiatement fait appel à vos supérieurs – à propos de ce que vous avez fait. Pourriez-vous nous raconter votre expérience, qui avez-vous tué ?

STEPHEN LEWIS : C’était fin 2009 et j’avais été chargé d’aider une troupe au sol. Et ceci à chaque fois que nos troupes étaient prises sous le feu.

JUAN GONZÁLEZ : Dans quel pays cela se passait il ?

STEPHEN LEWIS : En Afghanistan. Et pendant cet épisode, on nous a dit d’aller vers un endroit déterminé. S’y trouvaient quatre gars descendant un sentier de montagne. Je ne voyais aucune arme. Après cinq minutes, deux roquettes arrivent et tuent trois personnes. Il restait juste un blessé. On nous a donné l’ordre de tirer une autre roquette. Et ce gars, eh bien il était plus là.

JUAN GONZÁLEZ : C’est-à-dire que l’on vous a ordonné de tirer sur un gars blessé au sol.

STEPHEN LEWIS : Oui.

AMY GOODMAN : Qu’avez vous fait ensuite ?

STEPHEN LEWIS : J’ai sérieusement réévalué ma vie. Peu de temps après cela, j’ai fini par écrire une lettre très convaincante à ma hiérarchie pour leur dire que je n’appartenais plus à ce monde, que je ne voulais plus le faire et que je voulais en sortir.

AMY GOODMAN : Quelle fut leur réponse ?

STEPHEN LEWIS : Six mois plus tard, j’avais quitté l’armée de l’air.

AMY GOODMAN : Comment avez vous été choisi comme opérateur de drones ?

STEPHEN LEWIS : Complètement par hasard. Je faisais une école d’analyse graphique car je voulais analyser les photos satellites. C’est ce qui m’intéressait. Mais à mi-chemin, ils sont arrivés et m’ont dit : Tu vas à Las Vegas. Tu vas aller à l’école d’opérateur de drones et tu vas faire ça.

AMY GOODMAN : Vous ont-ils dit pourquoi ?

STEPHEN LEWIS : Ils n’avaient pas besoin. Il n’y a pas de discussions là bas. C’est Oui, Monsieur. Oui, Madame. Je ferai tout ce que vous me demandez de faire.

AMY GOODMAN : Et maintenant que vous n’êtes plus dans l’armée de l’air, comment ce que vous y avez fait, être un opérateur de drone, tuer quelqu’un, vous a-t-il affecté ?

STEPHEN LEWIS : Cela a rendu toute sorte de relation difficile. Je ne peux plus communiquer correctement avec mes amis. Je commence toujours par désolé les gars, je ne peux pas sortir avec vous ce soir. Il se passe trop de choses en ce moment. Cela a effectivement détruit toutes les relations que j’ai pu avoir par la suite.

JUAN GONZÁLEZ : Et à propos de ce dont vous parlez dans votre lettre, sur le fait que le programme de drones alimente ou crée plus de terrorisme ?

STEPHEN LEWIS : Eh bien, c’est dit dans le film, Drone, que les enfants ont peur de sortir jouer ou d’aller à l’école pendant la journée, chaque fois que le soleil brille, parce qu’ils ont peur d’être touchés par un drone.

AMY GOODMAN : Allons voir la scène de ce film, du film intitulé Drone. En 2012, une grand-mère de 67 ans a été tuée par un tir présumé de drone américain alors qu’elle ramassait des petit pois dans un champ avec ses petits-enfants. En 2013 nous avons parlé avec ces petits-enfants, Nabila et Zubair, qui avaient alors respectivement 9 et 13 ans. Les deux ont été blessés par le tir ayant tué leur grand-mère. Cela commence avec Zubair.

ZUBAIR UR REHMAN : Je rentrais de l’école ce jour là et, en arrivant, j’ai pris mon goûter et fait ma prière. Puis ma grand-mère m’a demandé de sortir l’aider à ramasser les légumes.

AMY GOODMAN : Vous avez été touché par ce drone qui a tué votre grand-mère ?

ZUBAIR UR REHMAN : Oui, j’ai vu le drone et deux roquettes ont frappé juste là ou ma grand-mère se tenait, en face de moi. Elle a été explosée en morceaux et moi blessé à la jambe gauche.

JUAN GONZÁLEZ : Et toi Nabila, tu as neuf ans. Comment les choses ont changé depuis l’attaque ? Sors tu encore, vas-tu seule dans les champs, as-tu peur d’autres attaques ?

NABILA UR REHMAN : Depuis l’attaque, j’ai tout le temps peur. Nous tous, les enfants, avons peur de sortir.

AMY GOODMAN : C’est Nabila, et avant Zubair, son frère, les Rehmans, parlant du tir de drone ayant tué leur grand-mère au Pakistan. Ils ont aussi témoigné avec leur père qui n’était pas là quand ils ramassaient les pois avec leur grand-mère. Ils ont témoigné devant le parlement américain. Mais cela se passait au Pakistan. Votre cible était en Afghanistan.

STEPHEN LEWIS : Je ne pense pas que 800 km fassent la différence. La culture est très proche. Et vous engendrez une atmosphère de peur. Il existe un vieux dicton texan disant : on ne coince pas un animal apeuré contre un mur. Et si vous le faites, il va finir par attaquer. C’est exactement ce qui est en train de se passer.

AMY GOODMAN : Est ce que le département aux Anciens combattants vous a fourni une aide psychologique pendant que vous souffriez ?

STEPHEN LEWIS : Je suis allé les voir mais cela m’a paru inutile. Inutile dans mon cas. Ils m’ont dit vous avez besoin d’un IRM, puis je suis resté six mois sans IRM. Vous avez besoin d’un anti-douleur, puis je suis resté six mois sans anti-douleur. S’ils ne prennent pas soin de vous, pourquoi aller là bas ?

JUAN GONZÁLEZ : Cian, je voulais vous demander, en tant que technicien du programme de drones. Pouvez-vous nous dire qu’elle était votre tâche et en quoi elle différait de celle des opérateurs.

CIAN WESTMORELAND : Bien, donc nous avons construit un site qui était utilisé comme station relais pendant que nous étions là-bas.

JUAN GONZÁLEZ : Là-bas en Afghanistan ?

CIAN WESTMORELAND : Oui, en Afghanistan, à Kandahar. Et je recevais des signaux de tout l’Afghanistan. 400 000 km². Et nous les relayons pour les envoyer assez loin, comme de là bas au centre des opérations aériennes. Et vous savez…

JUAN GONZÁLEZ : Qui est situé où ?

CIAN WESTMORELAND : D’abord à la base d’Al Udeid au Qatar et puis vers Ramstein [en Allemagne, NdT]. Et nous étions donc en train de construire le site quand un jour mon patron est venu nous voir, nous a donné des écouteurs pour que nous écoutions un avion, un A-10 parlant avec un centre de commande. Puis il sourit et nous dit: Les gars, maintenant nous tuons des méchants.

Et je pense que cela a eu beaucoup de sens pour moi parce que mon père travaillait au centre de commande au Koweït pendant le 11 septembre et il s’occupait des pièces détachées de missiles aussi pendant les premiers bombardements. Et il me racontait un peu de la culture et des gens aux commandes stratégiques. Ils visaient certaines cibles, mais ils leur restait encore des missiles, alors ils allaient trouver d’autres cibles, à cette époque là tous ceux habillés en blanc. C’est la première pensée qui m’est venue a l’esprit quand il a dit nous tuons les méchants maintenant.

AMY GOODMAN : Que voulez vous dire par tous ceux habillés en blanc ?

CIAN WESTMORELAND : Tous ceux habillés en blanc

AMY GOODMAN : Pourquoi en blanc ?

CIAN WESTMORELAND : A cause du préjugé qui dit que ceux habillé en blanc étaient des talibans. C’étaient donc ce à quoi je pensais quand j’étais là bas. J’ai commencé à faire des cauchemars dans lesquels je faisais du mal à des enfants, puis j’essayais de les aider mais je n’y arrivais pas.

AMY GOODMAN : C’était en quelle année ?

CIAN WESTMORELAND : En 2009. Et quand nous rentrions, on nous donnait une feuille qui indiquait nos performances. Elle disait que nous avions participé à 2 400 missions de soutien aérien et tué plus de 200 ennemis. Mais je savais que c’était faux car tout le monde dans l’armée de l’air sait qu’un bombardement aérien provoque des dommages collatéraux la plupart du temps.

AMY GOODMAN : Donc vous saviez que c’était beaucoup plus.

CIAN WESTMORELAND : Eh bien je dis qu’ils n’étaient pas tous des ennemis. Il y avait aussi des civils. Et quand j’ai étudié le rapport de l’UNAMA qui est sorti au début de l’année suivante, il y était annoncé qu’environ 350 civils avaient été tués. Cela a remis en question ce que je faisais ici et j’essayais d’imaginer comment, exactement, nous en étions arrivés à ce qui était inscrit sur ce bout de papier.

Et j’en suis arrivé à la conclusion que c’était les gens qui en réalité administraient les frappes. Vous avez les pilotes qui appuient sur la gâchette, vous avez les analystes d’images qui choisissent les cibles et puis celui qui prend la décision. Et tous dans un même système, c’est la responsabilité de tuer qui est divisée, ainsi personne ne se sent totalement coupable de ce qu’il fait. Je pense que nous nous dirigeons vers un monde où, dans la guerre aérienne, il y aura de plus en plus de techniciens et de moins en moins de décisionnaires. Je pense que nous devrions développer une nouvelle façon de penser l’éthique et ce que veut dire que d’être technicien. Une des voix les plus influentes a été celle d’Oppenheimer.

AMY GOODMAN : J. Robert Oppenheimer.

CIAN WESTMORELAND : J. Robert Oppenheimer, oui, exactement, celui qui a développé la bombe atomique. En voir les effets a dû être dévastateur. Il a dû se sentir comme un destructeur de mondes. Eh bien, c’est un peu comme ça que je me sens, car tous les signaux passaient par moi et que tous ceux qui entretiennent ce système sont responsables. De même pour l’Allemagne avec la base de Ramstein hébergeant la station relais, les gens là bas sont responsables des signaux relayés. Et le gouvernement allemand, de ne pas communiquer avec le public ou de ne pas savoir ce que nous y faisions, c’était un manque total de respect de la part des États-Unis et, potentiellement, de la part du gouvernement allemand. Mais je ne suis pas sûr qu’il était au courant.

Traduit par Wayan, édité par jj, relu par Literato pour le Saker Francophone

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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 15:13
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22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 13:11

Le Tribunal de Grasse vient de qualifier le meurtre dont a été victime Abdelhakim Ajimi d’homicide involontaire, de condamner deux policiers coupables à du sursis, et de relaxer quatre d’entre eux. Comme vient de le déclarer le Collectif Vérité Justice : « Non, la famille Ajimi n’a pas eu le respect que lui devait le tribunal de Grasse : Oui, la mémoire d’Abdelhakim Ajimi a été salie par des voyous en uniforme. Du sursis pour des actes barbares et une compensation financière pour la famille. Ah, elle est belle la justice… Pour notre part, nous réaffirmons que les policiers devaient dormir en prison ce soir. Mais aujourd’hui comme hier le fait d’être policier excuse tout. Ce jugement équivaut à un permis de tuer pour la police. » Un permis de tuer qui hélas s’inscrit dans une longue et ancienne série, comme en témoigne le fragment qui suit, couvrant la période 1997-2002... Pour une vue plus complète, notamment sur le passé moins récent, on pourra se référer aux deux recueils de Maurice Rajsfus : Bavures et La police et la peine de mort, d’où sont extraites la plupart des informations qui suivent [1 ]. Précisons qu’à une exception près, aucun policier mis en cause dans les affaires évoquées ici n’a passé une seule journée en prison.

Nous nous contenterons ici de mentionner des cas de violence extrême, essentiellement des homicides, mais ces cas extrêmes ne doivent pas faire oublier les violences et les vexations quotidiennes que constituent les contrôles au faciès ou à répétition, les fouilles humiliantes, les injures, les menaces et les différents degrés de violence physique, de la bousculade au passage à tabac.
Quant à ceux, tellement nombreux, qui ne veulent pas entendre parler des crimes policiers, et qui objectent systématiquement, comme par réflexe conditionné, qu’il y a "aussi des policiers qui se font tuer", on se contentera de leur répondre que c’est exact, mais, que les assassins de policiers croupissent en prison de nombreuses années, alors qu’il est rarissime que les "bavures" policières causent à leurs auteurs ne serait-ce qu’une journée en prison. On appréciera, dans les lignes qui suivent, le prix que la justice française accorde à une vie de "jeune des banlieues".
25 juin 1997. À Paris, au cours d’une opération de police contre le travail clandestin, un jeune Chinois saute du deuxième étage d’un immeuble et meurt de ses blessures.
Aucune instruction ouverte.
5 août 1997. Dans le Gard, des gendarmes ouvrent le feu sur deux jeunes hommes qui ont pris la fuite à bord d’une voiture volée : l’un d’eux reçoit une balle dans la tête et meurt.
Aucune suite judiciaire connue.
Novembre 1997. Un policier municipal de La Seyne-sur-Mer provoque la mort d’un jeune motard.
Le 13 décembre 1997, le tribunal correctionnel de Toulon établit la responsabilité du policier, mais les juges ne le condamnent qu’à quatre mois de prison avec sursis.
25 novembre 1997. Le tribunal correctionnel de Valence relaxe un gendarme qui avait tué d’une balle dans la nuque un automobiliste fuyant un contrôle en janvier 1993.
Le procureur avait pourtant demandé une forte peine d’emprisonnement. Au cours du procès, l’accusé avait fait valoir qu’un gendarme peut tirer s’il n’a pas d’autre moyen pour stopper un véhicule, comme le prévoit un décret de 1903, jamais abrogé.
18 décembre 1997. Dans la forêt de Fontainebleau, un policier abat un jeune garçon de seize ans, Abdelkader Bouziane, d’une balle dans la nuque.
Le policier a tiré alors qu’Abdelkader Bouziane venait de franchir sans s’arrêter un barrage de police et que son véhicule était en fuite, à une vitesse qui sera estimée à 36 km/h lors de la reconstitution.
Le 16 décembre 2001, le policier en cause bénéficiera d’un non-lieu.
20 décembre 1997. Le policier Carvallo abat le jeune Fabrice Fernandez, vingt-quatre ans, d’une balle en pleine tête, tirée à bout touchant dans un commissariat de Lyon.
Fait rare, le policier sera condamné à 12 ans de prison ferme.


31 août 1998. À Tarbes, un policier en civil abat de trois balles de revolver un "sans-domicile-fixe" qui lui avait demandé une cigarette.
Aucune suite judiciaire connu
e.


6 novembre 1998. À Tourcoing, cinq policiers contrôlent Sydney Manoka Nzeza, un jeune Zaïrois âgé de 25 ans, alors qu’il est en train de circuler en rollers : jeté à terre et menotté, le jeune homme meurt d’une " compression thoracique ".
Le 5 juillet 2000, le tribunal relaxe trois des cinq policiers. Les deux policiers jugés directement responsables de la mort du jeune homme sont condamnés à sept mois de prison avec sursis
15 novembre 1998. À Riom, des gendarmes abattent deux cambrioleurs.
Aucune suite judiciaire connue.
20 novembre 1998. Trois policiers toulonnais tuent un jeune Tunisien en état de dépression nerveuse en l’étouffant par écrasement.
Les faits se déroulent sur la terrasse de son domicile, lors d’une interpellation. L’homme était alors à terre, menotté et maîtrisé. Le 12 octobre 2000, les policiers mis en cause bénéficient d’un non-lieu.
13 décembre 1998. Un policier toulousain, accompagné de ses collègues, tue le jeune Habib, 17 ans, d’une balle dans la tête, tirée à bout touchant lors d’une interpellation.
Habib est décédé suite à une double hémorragie, provoquée par la balle qui a traversé son cou et son épaule, avant de ressortir par le sein droit. Son corps est retrouvé trois heures plus tard : les policiers l’avaient abandonné agonisant sur la chaussée, sans avertir le SAMU ni les pompiers. Ils avaient également négligé de rendre compte à leur hiérarchie du coup de feu tiré, comme obligation leur en était faite. Deux des collègues du meurtrier sont même retournés sur les lieux du meurtre pour récupérer les douilles des balles tirées.
Ce meurtre provoque plusieurs journées d’émeutes, durant lesquels un jeune homme de vingt-deux ans tire sur un policier et le blesse ; il sera condamné à douze ans de prison ferme. En revanche, il faudra attendre trois ans pour que le policier meurtrier comparaisse devant un tribunal, pour être finalement condamné à trois ans de prison avec sursis...
17 décembre 1998. La cour d’assises de Nice acquitte le sous-brigadier Karenco, de la police des frontières, qui avait abattu d’une balle dans le dos un jeune tzigane installé à bord d’une voiture en fuite.
Les faits avaient eu lieu dans la nuit du 19 au 20 août 1995 à Sospel. Deux jours plus tard, le 22 août 1995, le ministre de la Justice (Jacques Toubon) avait réagi en déclarant sur RTL : " C’est un policier qui a fait son travail ".
30 janvier 1999. À Caen, un gendarme abat un cambrioleur âgé de 27 d’une balle en pleine tête.
Le gendarme affirme que la balle est partie accidentellement. Aucune suite judiciaire connue.
14 mai 1999. Le tribunal de Bobigny acquitte un lieutenant de police qui avait tué d’une balle dans la tête un chauffeur de taxi guadeloupéen.
Une semaine auparavant, il avait été décoré de la médaille d’honneur de la police française.
23 juin 1999. Le tribunal de Bobigny relaxe un commissaire de police et un inspecteur en service à Roissy jugés pour des violences ayant entraîné la mort d’un sans-papiers sri-lankais, Arunam Fiva, au cours de son expulsion.
1er septembre 1999. À Cormeilles-en-Parisis, lors d’un simple contrôle d’identité, un policier abat un homme de 28 ans d’une balle dans la tête.
Le policier affirme avoir tiré en l’air. Aucune suite judiciaire connue.
24 mars 2000. Un homme interpellé en état d’ébriété meurt au commissariat de police de Mayenne.
On évoque un suicide par étouffement, mais, quelques jours plus tard, l’autopsie révèle des " ecchymoses inexpliquées " et des hématomes autour du cou. Aucune suite judiciaire connue.
16 avril 2000. À Lille, un policier, accompagné d’un collègue, abat d’une balle dans la nuque (à bout portant) le jeune Riad Hamlaoui, vingt-trois ans, alors qu’il est assis dans une voiture à l’arrêt, côté passager, en train de boire avec un ami.
Le 19 avril 2000, le ministre de l’Intérieur Jean-Pierre Chevènement fait savoir qu’il ne souhaite pas réagir sur cette affaire, qu’il ne qualifie pas de " bavure ", mais de " drame affreux " et " consternant ".
Le 4 juillet 2002, le policier, reconnu coupable, sera condamné à trois ans de prison avec sursis.
10 février 2001, à Saint-Martin-d’Uriage, vers une heure du matin, un gendarme tue un jeune homme qui le menaçait avec un cutter.
Aucune suite judiciaire connue.
20 mars 2001. La Cour de Versailles condamne les policiers responsables de la mort du jeune Aïssa Ihich, dix-neuf ans, le 27 mai 1991, à dix mois de prison avec sursis.
Ils l’avaient matraqué au sol et frappé (devant un groupe de CRS qui ont témoigné), puis privé de ses médicaments lors de sa garde-à-vue. Le jeune homme, asthmatique, avait réclamé ses médicaments, et ses parents étaient passés au commissariat pour les lui faire transmettre - en vain.
La Cour d’Appel de Versailles réduira finalement la peine des policiers à huit mois de prison avec sursis - ce qui leur permettra de ne pas être révoqués, et de bénéficier de l’amnistie présidentielle (applicable uniquement aux peines inférieures à neuf mois de prison).
19 juin 2001. À Montigny-les-Cormeilles, un jeune homme d’origine maghrébine meurt d’un accident de scooter à la suite d’une course-poursuite.
Il avait été pris en chasse par des policiers alors qu’il roulait sans casque, en compagnie d’un ami. Aucune suite judiciaire connue.
28 septembre 2001. Après dix ans de procédure (instruction interminable, non-lieu, appel...), le jury de la Cour d’assises de Versailles acquitte le policier Pascal Hiblot, qui avait abattu le jeune Youssef Khaïf, vingt-trois ans, d’une balle dans la nuque.
La balle avait été tirée à une distance estimée supérieure à douze mètres par les expertises balistiques et l’autopsie.
13 octobre 2001. Sur les hauteurs de Thonon-les-Bains, quatre jeunes hommes meurent dans un accident de voiture causé par une course-poursuite.
Aucune instruction n’est ouverte
29 octobre 2001. Un Congolais décède après une nuit passée en garde-à-vue au commissariat de police du neuvième arrondissement de Paris.
Plusieurs personnes témoignent de la brutalité de son interpellation, alors qu’il était au volant de sa voiture. Aucune suite judiciaire connue.
5 novembre 2001. À Antibes, un jeune homme d’origine maghrébine meurt d’une crise cardiaque en pleine rue lors d’un contrôle d’identité.
Les policiers ont empêché ses camarades de lui faire un massage cardiaque. Aucune suite judiciaire connue.
2 janvier 2002. Un policier abat le jeune Moussa, seize ans, d’une balle dans la tempe lors d’une course-poursuite en voiture.
Aucune suite judiciaire connue.
21 mai 2002. À Dammarie-les-Lys, un policier abat le jeune Xavier Dhem d’une balle dans la tête lors d’une interpellation au domicile de son grand-père.
Aucune suite judiciaire connue.
23 mai 2002. Mohamed Berrichi meurt d’une chute de moto à la suite d’une course-poursuite.
Les policiers avaient pris en chasse le jeune homme parce qu’il ne portait pas de casque. Aucune instruction n’est ouverte.
30 décembre 2002. Ricardo Barrientos, un Argentin âgé de 52 ans, meurt des suites d’un malaise cardiaque au cours de son expulsion forcée.
Bien que ce type de malaise cardiaque soit rarissime, la police des frontières conclut à une "mort naturelle". L’enquête est en cours.
18 janvier 2003. Mariame Getu Agos, un Somalien âgé de 24 ans, meurt des suites d’un malaise survenu lors de son expulsion forcée.
Avant l’embarquement, il avait déjà fait deux malaises, considérés comme des malaises "simulés" par le médecin de la police des frontières. Quelques jours plus tard, le chef de cabine de l’avion témoignera de la violence des policiers : l’un d’entre eux s’est "assis sur la taille et les cuisses" du jeune Somalien, le second "sur le thorax", et le troisième a appliqué un coussin sur sa tête pour étouffer ses cris. Les trois fonctionnaires sont suspendus, et une enquête est ouverte.
1er mars 2003. Aux alentours de Durfort, dans le Gard, un gendarme abat Mourad Belmokhtar, dix-sept ans, d’une balle dans la nuque, alors qu’il est à bord d’une voiture en fuite.
La voiture était recherchée pour tentative de cambriolage. Quinze coups de feu ont été tirés, par deux gendarmes. Les gendarmes en cause ne sont pas suspendus, et le Conseil municipal de Saint-Hippolyte-du-Fort vote une motion de " sympathie " et de " soutien " aux gendarmes, pour les " moments difficiles " qu’ils traversent, sans un mot pour les proches de la victime.
10 mars 2003. Un adjudant de la Loire tue d’une décharge de fusil à pompe dans le dos Aurélien Joux, 23 ans, qui avait avoué une tentative de cambriolage.
Le coup de feu serait parti sous l’emprise de la panique, à cause d’un chien. Enquête en cours.
Pour conclure
Il y a près de vingt ans, à l’issue des deux "Marches pour l’égalité", Farida Belghoul dénonçait déjà cette impunité, et plus largement la chape de silence et d’indifférence qui pèse sur les crimes policiers et sécuritaires, surtout lorsqu’ils frappent des jeunes issus de l’immigration. Vingt ans après, ses mots gardent toute leur force :
"Il est aisé de s’élever contre ce qu’il est convenu d’appeler un crime raciste propre. Ce type de crime, considéré comme tel (ce qui est déjà une chose rare) met en scène dans la bonne conscience antiraciste un beauf dément sans garantie de représentation et une victime qui s’est comportée en bon citoyen sa vie durant. Dès lors qu’un commerçant ou qu’un flic surtout est l’auteur d’un assassinat sur la personne d’un petit délinquant, on assiste à une dispersion totale. Les condamnations véhémentes et morales font place à un silence qui transforme l’appareil d’État et judiciaire, les groupes politiques et l’opinion publique, comme dirait Brecht, en complices." [2 ]

P.-S.

Cette chronologie est extraite de : Pierre Tevanian, Le ministère de la peur. Réflexions sur le nouvel ordre sécuritaire, paru aux éditions L’esprit frappeur en novembre 2003.
Une rencontre est organisée ce samedi, 25 février 2012, à Grasse pour organiser une riposte collective contre les crimes policiers et leur impunité. Contact : comite_hakim_ajimi@riseup.net

Notes

[1 ] Ils sont publiés aux éditions L’esprit frappeur. Sur les événements ci-dessous, cf. aussi L’écho des cités, octobre 2001, juin/juillet 2002 ; Le Rire, juillet 2002, L’Humanité, 25/09/2001, 26/09/2001, 01/10/2001 ; Le Monde, 15/12/1997, 21/12/1997, 26/06/1999, 20/04/2000, 30/09/2001, 16/10/2001, 08/02/2002, 06/07/2002, ; Libération, 15/07/1997, 17/03/1998, 26/12/1998, 19/12/1997, 21/03/2001, 07/09/2001, 11/09/2001, 26/09/2001, 29/09/2001, 01/10/2001, 15/10/2001, 05/11/2001, 30/01/2002, 01/02/2002, 02/07/2002, 04/07/2002, 05/07/2002, 10/07/2002, 04/03/2003, 12/03/2003 ; Le Parisien, 12/05/1999, 15/05/1999 ; France 2, 06/07/2000 ; Var matin , 14/10/2000 ; Plein droit, avril 1998 ; et http://mibmib.free.fr

[2 ] F. Belghoul, "BHL, Barre, Gros-minet et les autres", Sans frontières, n°92-93, "La beur génération", mai 1985

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21 novembre 2015 6 21 /11 /novembre /2015 14:49
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20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 17:09
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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 15:05

ET SORTONS DE L'OTAN ! (il y a un parti pour ça : l'UPR)

heu, uhe chose aussi qui est très importante, Monsieur MDR PTDR, révisez votre manuel de grammaire française pour l'école primaire !! il faudrait quand-même distinguer un participe passé d'in infinitif !! c'est basique !!! si vou voulez avoir votre certificat d'étude primaire c'est indispensable !!

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 18:36
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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 14:13
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2CCR

ALAIN BENAJAM
un paysan de l'Allier

http://www.petitions24.net/forum/47277
 Quand on vit dans l'Europe actuelle,on comprend le dégoût et la haine que les gens d'Europe de l'Est avaient pris pour la langue russe
une effarante chape de plomb médiatique pèse sur le basculement linguistique en cours
    defenselanguefrancaise.org Aujourd'hui il y a sur les murs de Paris plus de mots anglais qu'il n'y avait de mots allemands pendant l'Occupation (Michel Serres) Seuls les banquiers peuvent voler le peuple en plein jour sans avoir la police aux trousses...Jovanovic : il faut NATIONALISER LES BANQUES sans aucune indemnité, et mettre au point un tribunal pour les traduire en justice

le NWO alias le N.O.M. = Nouvel Ordre Mafieux

M'ame MEDEF et la  police

Pièces et main d'oeuvre
Olivier Demelenaere

ANONYMOUS
CHISTOPHER BOLLYN 
 INFOSYRIE
TOUCHE PAS à MON LABO !
La misère a un sourire tu sais?  oui je sais
...
SaveFrom.net  
Réseau Voltaire France

Mon site en Espéranto
BASTAMAG

Il faudra bien tenter de trouver des réponses, même si celles-ci peuvent s’avérer explosives 

une vraie civilisation : CAHIERS DE COUTURE

le dissident de Genève

MANIPULATION TOTALITAIRE DIGNE DE L'URSS   Les millliards perdus du Pentagone

Le soupçon d'ue manipulation d'Etat

donner la parole au peuple

ESPERANTO

Le plus grand dictionnaire  espéranto-français en ligne !

FUMER TUE ! CRAC BOUM HUE !

pour écouter ci-dessous cliquer dans le rectangle noir !

tiens des femmes portant un "voile islamique"

dictionnaires multilingues, exemple

Tous ses nouveaux articles sont du plus haut interêt

ambiance de merde, société détraquée et psychosée, rumeur meurtrière, flicaille 1 mort innocent tué par la bétise des gens 

"Tout pouvoir corromp, tout pouvoir absolu corromp absolument" il n'y a pas de pire poison de PIRE en PIRE

 Les pilotes français des avions qui ont fait ça vont-ils être poursuivis par leur conscience pour le restant de leur vie  ? 

Kadhafi (القذافي) dans l'intimité

LABOURSTART

Les-diables-sont-déchainés

Earth Liberation Front

Front de Libération des Animaux

Phil Glass NIGHT TRAIN SaveFrom.net

Mendelssohn Menuhin Furwangler SaveFrom.net

BRAVE NEW WORLD

on réédite les erreurs des années 20 
Forces international

IMMONDE FRANCE transformée en cauchemar !créez des fonctionnaires
Saddam face à l'histoire  

le racisme est en dernière analyse un racisme anti-pauvres reflechissez ... à quand une assoc anti-raciste pour défendre ceux-ci ? ça risque pas: les assoc anti-racistes sont composées de riches et de bourgeois !  L'Occident va crever de ne plus se toucher 

DES GENS 15è arrond. Quand Paris était encore une ville du peuple
défendons la langue française
et les autres domo dico 

 

 

La vraie vie  reconnaitre les papillons  découvrir le monde des insectes: FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres 

tous les oiseaux leur chant etc

France actuelle: HORREUR ABSOLUE à quoi on nous prépare 

17 mesures d'URGENCE
le monde dont nous voulons le contraire de celui qu'on nous impose  tout ça va bientôt être INTERDIT par les arrêtés municipaux fascistes détraqués

http://dont-stop-the-chicha.skyrock.com/

"il va falloir reconnencer à sculpter les facades des maisons, à vivre dans le beau, pourquoi toujours la merde et la sous-merde ?!"

ne pas laisser tomber avant d’avoir commencé, nos enfants ont besoin de nous

dépéchez-vous avant que les règlements municipaux n'interdisent de mettre des plantes odoriférantes dans son jardin: semences BIO de fleurs et de légumes rares 

Joseph Moshe? on a retrouvé Joseph Moshe ! mais comment se fait-il qu'aucune date de liberation n'est indiquée, ni de jugement? et comment se fait-il qu'aucun journaliste n'a pris la peine d'aller le visiter pour en avoir le coeur net sur ce qu'il est?

Diana

Il y a eu 2 génocides, sauf que le deuxième n'a bénéficié d'aucune commémoration

http://www.parasciences.net/

CABANES DANS LES ARBRES

TOUTES LES GALAXIES !

KURT SONNENFELD

Bruxelles 11 septembre 2008

vidéo à regarder jusqu'au bout, c'est là que se trouve le plus important !!

petit à petit ça se sait LA NATURE DU CAPITALISME et la psychologie de ses "kapos"

Chute libre dans la barbarie tout citoyen français vit maintenant dans une insécurité de tout instant, à chaque moment un cauchemar ignoble peut s'abattre sur lui quand on vous disait de pire en pire contre ces horreurs, ce cancer qui ronge la FRANCE lapétition 

pour le receuil de témoignages

la France montrée du doigt par Amnesty International pour les excès de la police et  l’impunité dont jouissent leur auteurs (la Chine nous donne une leçon !)  faute de structure d’enquête indépendante et avec une justice plus prompte à classer les affaires qu’à les juger. et voilà un qui lâche le morceau et explique beaucoup de choses - un témoignage de l'intérieur! - plein d'exemples de cette mentalité Tout ça vient de leur impunité
 http://outre-vie.forum
poésie et astronomie

poésie de Francis Jammes
* discours anti-secte comme support de l’idéologie néolibérale *
apparitions en Egypte

 Daninos disait: "L'esprit, comme le parachute, doit être ouvert pour fonctionner."
* les OVNIs en Argentine 



la lettre de la vieille dame :

les Bistrots Résistants

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre "les Bistrots Résistants" en bleu sous le cadre, qui sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée

 

Ne plus respecter les lois liberticides
 
Zygmunt Bauman
"On a beau parler des droits de l'homme, il faut d'abord respecter l'individu et sa liberté. Sinon, c'est du vent, un beau discours qui ne sert à rien à nous les vivants." (Gao Xingjian)

PAUVRE ARGENTINE!

SANS DROITS SANS VOIX

féroce inégalité des sexes ! quand cela cessera-t-il ?
l'affaire Fortin
halte à l'inhumanité du racisme anti-homme !

papillons  - en 2008  carabus coriaceus ?
oiseaux  dictionnaire HINDI

c'est délicieux  !

cuisine de Rosine
cuisine syrienne
v Merveilleux tableaux

vun miracle nommé Bubulle
une analyse sociologique lumineuse des dérives actuelles :

le critère? être minoritaire !!

"nos impôts utilisés à payer des hystériques qui traitent de secte tous ceux qui ne se soignent pas ou ne pensent pas comme tout le monde."dry.gif

la-delation-aveugle/

"L'enfer est pavé de bonnes intentions" v


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texte libre 4 en haut à droite

texte libre n° 2 à droite au milieu

ECOUTER en LISANT: (Phil Glass)

années 50 époque moins constipée que maintenant qu'est-ce qu'on vous regrette !
Je suis un sentimental - Eddie Constantine SaveFrom.net

NOUVEAU:  ICI LES CHANTS DE TOUTES LES ESPECES D'OISEAUX DU MONDE ENTIER  

Voyages en ASIE

 

FLORE EN LIGNE !

identification des plantes

identification des fleurs composées (à capitule)

herbier très détaillé des espèces les plus courantes

 

IMMONDE ! on se croirait en URSS !

alors la frontière n'existe plus: http://www.maitrepo.com/a

Haïkus

jouer au TAROT : télécharger

rue Affre  

  Fabuleux ROSSINI SaveFrom.net
v Abdelhalim Hafez

v "ah  mais ça ne finira jamais"
v Je veux dire au monde une histoire
*pour découvrir le monde des insectes, FABULEUX!
http://fauneflore06.site.voila.fr/pages/insecte/insecte.htm#Ordres
c'est vrai, en France aussi on ne voit presque plus jamais de mouches! comment ça se fait?

tous les oiseaux, chants, etc

situation  terrifiante

v NOTRE PLANETE INFO

Que reste-t-il de la démocratie?
Une vraie société c'est ça

une évolution politique véritablement glaçante  

le vin le meilleur aliment anti-vieillissement:

¿Seremo entregados a los barbaros fieros?
¿Tantos milliones de hombres hablaremos inglés?
¿No hay mas nobles hidalgos ni bravos caballeros ?
¿Callaremos ahora para llorar despues? (Ruben Dario)

patriotisme pas mort vive la Russie !



Tites boules émotives pour vos commentaires
                                     
 
                

PLIAJ MIENETOJ

d'autres ici

nous ne sommes qu'une poignée à percevoir la gravité du phénomène et ses menaces sur les libertés individuelles.pureté et santé ces notions ont été un cocktail explosif chaque fois que l'Etat s'est focalisé névrotiquement dessus n'est-ce pas ?le tabac comme "rideau de fumée" 

le si beau et si expressif visage de barbara !  on aurait envie de le couvrir de baisers  "Quand reviendras-tu ?"

NB : pour regarder cette vidéo il faut cliquer sur le titre " Quand reviendras-tu?" en bleu au-dessus du cadre,ili sert de lien avec le site Dailymotion. Là, la video fonctionne et peut être visionnée



http://www.lipsheim.org/forum/agora/
*
éthique des bistrots versus milices 

1/ Ne plus être muet : faire circuler ces informations autour de soi.
2/ Ne plus financer la mondialisation : consommer uniquement local, régional, artisanal.
3/ Ne plus respecter les lois liberticides : désobéir.
4/ Ne plus consommer la propagande : jeter sa télévision et sa radio.
5/ Ne plus être invisible : parler, faire du situationisme, occuper la rue.
6/ Ne plus être un esclave : devenir paysan, artisan, commerçant, indépendant.
7/ Ne plus être dépendant : devenir autonome (énergie, alimentation, santé, culture).
8/ Ne plus être un robot : rire, danser, chanter, dessiner, fumer, boire, partager, découvrir, etc.

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texte libre au milieu à droite

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