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lutte des classes, humanisme, actualité- valeurs de la vie contre les valeurs de mort- Sécuritarisme & Totalitarisme- Esperanto- Littérature, poésie

plus rien

"Avant" la société était, certes hiérarchique et de classe (elle l'est toujours! et encore plus), mais en même temps civilisée et républicaine, car il y avait une place pour tous et des équipements pour TOUS. Et par exemple des places de théatre, des places de trains, des hotels, il y en avait à tous les prix, pas toujours aussi bons les uns que les autres, mais ça voulait dire que même avec peu d'argent il y en avait toujours que vous pouviez vous offrir; il y en avait pour tout le monde. (et en particulier des hotels chers on n'en trouvait pas partout, mais des hotels pas chers il y en avait partout!La bildo “http://smileys.sur-la-toile.com/repository/Content/%5Eo%5E.gif” ne estas montrebla, ĉar ĝi enhavas erarojn.) Et ainsi par exemple même le peuple pouvait voyager!! et pas seulement les bourges!
comme cela doit être dans une vraie société!

Maintenant c'est pire!: ce n'est plus une société hierarchique, c'est une société d'exclusion! elle est faite pour les riches, et les riches seulement! ah oui! ces jésuites! c'est "égalitaire" ! puisqu'il' n'y a plus que des trains, des hotels, des spectacles, etc, pour les riches, tous au même prix (le plus élevé, comme par hasard): donc, ou bien vous avez les moyens de payer les hotels de haut standing, les places de théatre chics, les trains pour hommes d'affaire, etc, ou il n'y a simplement plus rien, plus aucune place pour vous dans la société, vous pouvez crever, dehors ! la société et ses aménités ne sont pas pour vous!
Vachement démocratique....
très Civilisé comme civilisation! ...
et il ne vous reste plus, si vous voulez encore survivre, physiquement, quelque temps, avant qu'on ne vous conseille gentiment de demander l'euthanasie, de passer sous le joug attentif des flics so non pardon! des travailleurs sociaux.


"il y a quelque chose de pourri     etc "

- Antaŭtempe nia socio estis ĥierarĥia socio, jes oni povis revi pri pli bona, sed estis en ĝi loko por ĉiuj, eble ne egale bonan sed estis, kaj alcela, nu tio estis socio ! Kaj ekzemple estis inter spektaklsidlokoj, inter vagonaroj, inter hoteloj, diversprezaj, ke eĉ se tute ne riĉaj estis ĉiam kaj ĉie io disponebla por vi. Kaj ankaŭ la popolo povis vojaĝi. Kiel estu en socio. Nun estas plimalbone : tiu estas nun eksiga socio, malaniga, forĵetiga : gi estas farita por la riĉuloj nur, aŭ vi havas sufiĉe da enspezoj por pagi la altkomfortajn hotelojn, la elitajn sidlokojn, la pornegocistaj trajnojn, ktp, aŭ ne estas io ajn por vi, entute nenia loko por vi en la socio, ekstere ! vi povas mortaĉi ! la socio ne estas por vi.

Nur restas, se vi volas nur korpe pluvivi iom da tempo, antaŭ ol oni konsilos al vi pri eŭtanazio, vi pasu sub jugo de la pastraĉar..., ne, pardonu ! de la socia laboristaro.

 

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R
et comme: (source :http://les-deboires-d-amada.over-blog.fr/ )"Représentant en moyenne 12 % du budget en 1979 pour toutes les catégories sociales, en 2006 le loyer est resté à 12 % pour les ménages les plus aisés mais est passé à 24,8 % pour les ménages les plus modestes. La hausse continue des loyers a atteint essentiellement les moins fortunés qui sont bien plus souvent locataires que les plus aisés. Pesant massivement sur le pouvoir d’achat des catégories les plus modestes, le logement apparaît dorénavant, selon l’étude de l’INSEE, comme le marqueur principal des inégalités." <br /> <br /> En février 2009, l'Adil, chiffre la part du loyer moyen (à Paris) à près de 37% du revenu des ménages (parfois 50%), les personnes vivant seules étant les plus impactées. <br /> Conséquence : de plus en plus de gens vivent en colocation pour le plus grand profit des bailleurs privés. Elle est pas belle la vie ?<br />  <br /> <br /> En résumé : chute libre du niveau de vie... <br /> "Le poids des dépenses « contraintes » (logement, électricité, téléphone, etc.) ou « incontournables » (alimentation, transports, santé, éducation), par opposition aux dépenses non contraintes (loisirs, habillement, équipement ménager, épargne) a pratiquement doublé depuis 1979. Il représente désormais près de 90 % du budget des plus pauvres et, fait nouveau, 80 % du budget des classes moyennes."non seulement on ne peut plus voyager ni aller aux spectacles à moins d'âpaprtenir à la classe "élitiste" mais meme simplement survivre est devenu un cauchemard.D'ailleurs c'est un signe de voir ce qui étaient les maisons normales d'il y a une génération être chacune rénovée pour être divisée en tout petits cagibis appellés "appartements" qui vont être chacun loués aussi cher que l'était la maison toute entière avant Et pour ce qui est du transport, question coût ET insécurité ET fatigue, car avant on allait travailler à pied (donc auncune interdiction de boire comme on voulait) ou en train (repos, sécurité, pas d'investissement à perte, sociabilité), quand on compare avec tous les dangers et contraintes administratives, les RACKETS (sous le nom de "assurance" (mon oeil!) ou "contôle technique", etc) fatigues, telps perdu criminalisationj de plus en plus poussée de GENS dans leur vie IMPOSEE de tous les instants .....
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