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Tant de pays, d'hommes, de mouvements, d'évènements sont manipulés insidieusement par les médias au contrôlés par et au service de certains interêts ....
Pour certains cas les mensonges sont devenus connus et un scandale public, n'est-ce pas ? !
Mais pour combien d'autre ça marche, comme j'ai dit c'est tellement décourageant de se méfier de tout de devoir toujours aller cher, où ? d'autres sons de cloches, on croit sur parole à des
résumés simlplistes, voire des mensonges manipulés.
la Bielorussie ! que les "journalistes" larbins n'arrêtent pas à nous présenter comme une "dictature", un bout d'URSS, parce que ce pays résiste au libéral-fascisme impérialiste, or qq revenu du
pays a constaté :
"La croissance s’est élevée à 7,6% en 2010. Des signes en sont visibles partout, beaucoup plus que lors de ma première visite il y a deux ans, et sur l’horizon de Minsk on aperçoit beaucoup de grues. La première impression qu’offre la Biélorussie est sa propreté : il n’y a, par exemple, presque pas de mégots sur les trottoirs. La deuxième est l’immense quantité d’arbres et de parcs qu’on rencontre dans les villes. (La troisième pourrait être, si l’on a comme préjugé que la Biélorussie n’est qu’une province soviétique reculée et arriérée, la présence de voitures modernes, téléphones portables et autres traits de vie cosmopolite de la part de ses citoyens). Les produits agricoles sont pour la grande plupart d’origine locale, et les fruits et légumes comptent fort peu de traitements chimiques. Le système de distribution des produits alimentaires n’est pas parasité par de grands distributeurs, comme en France. Les tomates sont vraiment rouges à l’intérieur et ont le goût de tomate, contrairement à leurs cousines occidentales. Le coefficient Gini, qui mesure l’égalité de revenus, est excellent (29,7, beaucoup mieux que la France ou les USA, ou ses voisins la Russie ou la Pologne). Le pays attire des immigrés des autres pays de la CEI, qui fuient la corruption, la criminalité et les drogues de leurs pays en faveur de la relative sécurité, de la faiblesse de la corruption et du chômage, mais aussi de la qualité des services sociaux, de la propreté des rues et de la verdeur des villes de Biélorussie. Ce sont là quelques unes parmi les raisons de la popularité du gouvernement du Président Loukachenko auprès de la majorité des Biélorusses, qui, naturellement, comparent le développement de leur pays sur 20 ans à celui de leurs voisins.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Bielorussie-assiegee-7755.html
http://www.marianne2.fr/L-empoignade-bielorusse-de-Melenchon-et-Quatremer_a202139.html?com
http://www.michelcollon.info/articles.php?dateaccess=2006-03-23%2018:22:33&log=invites
quand on compare avec tous les "avantages" que leurs apporterait la "liberté" capitalo-"européenne" on peut se pe
rmettre de comprendre qu'il sont finalement bien contents du système Lukachenko.
en anglais: les impressions de Marek Głogoczowski, polonais en visite à Minsk:
"I was invited to a nearby Belarus to witness the impressive recovery of this post-Soviet republic from the deep wounds inflicted by Gorbachev’s dismantling of the defunct USSR. Minsk, and Belarus as a whole, remains “la bête noire” of the EC. Soon we realized the cause of this Pan European ostracism of this nation of 11 million inhabitants. While walking on the main street of Minsk in the company of a Macedonian delegate of my age (who spent, as I did, several months in Paris), we agreed that the garden city of Minsk, situated on shores of turned into a mini-lake Swislotch river, looks even more beautiful than the capital of France. The charm of this city is due not only to its monumental neoclassical buildings with recently renovated facades, but also due to the fact that people on streets are really pretty and well dressed (young women rather undressed), while the whole city is the cleanest I have ever seen worldwide! What a difference in comparison to the “capital” of recent Orange Revolution, Lvov in Western Ukraine (which I visited a month earlier), with its cobblestone streets full of holes, un-repaired tram tracks, shoddy apartment houses and heaps of garbage in the courtyards.
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Lukaschenko proudly stressed that under his rule Belarus become the only state, out of 16 republics of former Soviet Union, which has at present a GNP higher than that of 15
years ago. He explained the enmity of EC by their envy of Belarus’ ability to achieve prosperity without surrendering its sovereignty to the IMF.
It was not only the impressive appearance of the Palace, and of Minsk in general, that confirmed Lukashenko’s thesis. The spectacle we saw after his opening speech was a masterpiece both in its choreography and in quality of its performance. Nearly all of the actors were dressed in national costumes and I admired the scenes played by about two hundred children aged 5-7 years old, all dancing with the impressive elegance and perfection. (Later on I was informed that in Belarus nearly all villages have their dancing and singing schools.) In fact for more than a day I felt like participating actively in the film “Tieni zabytych priedkov” (Shadows of forgotten ancestors) of the great Armenian director Sergei Parandjanov, which I saw twice in the late 1960s. This Soviet film tells the colorful history of disappearing Carpathian folk of Huculs, who are genetically and culturally somehow akin to my family from Tatra’s foothills.
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This was not all that reminded me the Past, which our children are not supposed to revive. In the evening preceding Independence festivities all delegates
to IX Pan-Slavic Congress were invited, in two separate groups, to a copious dinner offered by two big State Farms (former Sovchoz), situated at outskirts of Minsk. This kind of State-owned giant
agricultural enterprises existed until 1990 also in Poland, but once the “restructuring” of Polish agriculture started, these farms were artificially put into bankruptcy, leaving more than ten
thousand units of agricultural land abandoned and about two million of farm workers jobless. (Now parts of these abandoned farmlands in Northern Poland are re-cultivated by imported Dutch
farmer-businessmen, employing cheap Polish labour, still living in houses left by the socialist regime.) When will “Free Europe” put an end to this Belarus blasphemy of collectively owned means
of production?
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I had a similar feeling of being free from the billboards and TV advertisements that cover Poland today with unbelievable ugliness and stupidity.
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The above-mentioned foreign pressures mean that the fate of Belarus is supposed to be resolved in the next few years. As Alexander Zinoviev observed in his last book written in the
West, “La grande rupture”, (published in 1999 in Lausanne, only in French), the Supreme Authority of the West permits not the slightest deviation from its plan of world colonization. But there is
still a slight hope that this “radiant future” planned by our Globo-Masters will not arrive at all.
Zakopane, July13, 2005
The average salary in Belarus, where about 80% of industry is state-owned, is only about $200 per month, which means 3.5 times less than in Poland. But in Belarus unemployment does not exist, while in Poland only 54% of population of economically active age have an employment. Belarusians have, contrary to Poles, education and health care for free, cheap energy, nominal rents for apartments, the metro in Minsk costs only 12 cents, or six times less than in Warsaw. But it is true that access to objects of prestige (cars, cell phones, and all this electronic “garbage”) in Belarus is more complicated than in Poland, which surely makes a specific group of citizens (students, bourgeoisie) very unhappy, probably even hating their otherwise beautiful country. But there is no comparison between the shining renovated cities of Belarus and the stagnant Ukraine, from which in recent years over 7 millions (out of population of 48 millions) have emigrated, both to Russia and to the West. "
NOUVEAU serait-ce le commencement de la fin pour la biélorussie ?
voilà que la russie va lui accorder un prêt (or les particuliers comme les Etats - et l'actualité nous le montre tous les jours d'une façon criante ! - ont un interêt VITAL à ne surtout JAMAIS
s'endettter : c'est le commencement de la servitude et c'est se faire VOLER par les banques et écraser, etc, la servitude sans fin et sans issue, sans issue, jamais si on met le doigt dans
l'engrenage, il est combiné exprès pour ça, comme dans l'ancient Brésil des seringeiros) à la Bielorussie, et on nous dit (voir l'article en lien) que la Bielorussi va "privatiser" des actifs,
"privatiser", le mot qui fait saliver les prédateurs capitalistes ! et qui fait peur aux citoyens , inquiétant tout ça.
Et c'est pas tout il paraît qu'ils vont avoir recours au FMI alors là c'est la fin ! ils sont foutus ! un de ces jours ils vont être la propriétés sucés jusqu'au sang par les plan d'ajoustement
des exploitaurs à travailler pour des consortiums capitalistes étrangers et pour des salaires de plus en plus bas et sans services publics, bref l'horreur qui tomb sur tous les pays
étranglés par le mécanisme volotairement pervers de la dette, et des "privatisations" :
rappelons
la Yougoslavie
Le "massacre de Racak n'a jamais éxisté
et La Dr Helena Ranta, responsable de l'équipe d'enquêteurs sur le terrain a été contrainte à mentir, elle le dit maintenant
:
Les vrais camps de la morts ne sont pas serbes mais KOSSOVARS !
http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-30306363.html
ce n'est que maintenant que ça se sait (mais il y
a longtemps que ça existe et que ça a été tu ...
Silvia Cattori : Selon vous, quel était l’intérêt des États-Unis et de l’Allemagne à dresser les peuples des Balkans les uns contre les autres ?