lutte des classes, humanisme, actualité- valeurs de la vie contre les valeurs de mort- Sécuritarisme & Totalitarisme- Esperanto- Littérature, poésie
Par R. Platteau
Le nouvel ordre idéologique de la Police de la Pensée va recréer l'INDEX : http://www.lefigaro.fr/livres/2009/09/17/03005-20090917ARTFIG00385-faut-il-interdire-ces-auteurs-classiques-.php
"Il y a une vrai névrose de la non-prise de conscience d'une société en réalité totalement policière"
Il est dur d'accepter de se rendre compte que "le roi est tout nu" ou que nous vivons dans une société policiére où nous avons perdu toutes les libertés qui faisaient la vie avant 1970, il nous
reste si peu, comme dans un camp.
et à l'inverse, l'enfer qui nous attend sous peu : http://www.infowars.com/red-light-cameras-safety-devices-or-one-more-step-toward-a-surveillance-state/
Le problème est que les gens refusent encre de se rendre compte, d'où, une mal-être grandissant, qu'il sont dans un régimes totalitaire et policier, plus subtil et sournois
encore que ne l'était le système soviétique mais pas moins opressant.
HABITUDE = DANGER
Mais pour cela, la répression physique ne suffit pas. Il leur faut une population soumise, asservie, pire habituée, comme disait Charles Péguy.
L’habitude est notre pire ennemi.
La plupart des médias sont là pour nous habituer, justement. http://vimeo.com/3925987
« La liberté n'est pas dans l'État, elle est dans l'homme, car il est dans la nature du Prince de contraindre, il est dans la nature des personnes d'être elles-mêmes. L'important est moins de définir les libertés politiques que de maintenir chez les individus la religion, et la pratique, de l'acte personnel. Les peuples libres ne sont pas forcément ceux qui ont une constitution politique libérale. Qu'importe même un gouvernement dictatorial, si face à lui, la recherche et la décision personnelle, règnent dans la vie sociale, tandis que la tyrannie ne fait qu'affirmer contre elle, un peuple doublement épris d'indépendance. Ce qui compte n'est pas écrit dans les textes, mais vécu en esprit et dans l'acte. Car tout esprit authentique nourrit le geste qui le nourrit. Si nous avons perdu l'esprit de liberté, c'est bien parce que nous vivons dans une civilisation qui l'exclut du geste quotidien. » (Bernard Charbonneau)
même maintenant
Ces jours-ci (1er août 2011), même si la Syrie doit faire face à ses désordres, rares sont les Irakiens qui rentrent chez eux. En effet, les Irakiens qui partent pour la Syrie sont beaucoup plus nombreux que ceux qui rentrent dans leur patrie ».
Les Irakiens fuient non seulement pour laisser derrière eux la guerre qui continue à sévir, mais aussi parce qu’ils n’en peuvent plus d’un pays caractérisé par l’inefficience et la corruption des services publics. Oui, « la Syrie est vue comme un pays où il est meilleur de vivre ».
Interrogés par l’International Herald Tribune, les Irakiens s’expriment avec simplicité et efficience. Se référant à la Syrie, ils disent : « Là-bas la vie est belle, là-bas les femmes sont belles » (il n’y a pas d’obligation de port du voile). En tous cas, « il y a là-bas une chose importante : liberté et sécurité partout ». C’est à partir de cette conviction diffuse que, « à cause des vacances estivales, le nombre des personnes qui abandonnent l’Irak pour la Syrie a augmenté ».
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